Quantcast
Channel: Académie de Dijon : Actualités
Viewing all 770 articles
Browse latest View live

Brevet des collèges : c'est parti pour les 18 229 candidats de l'académie

$
0
0
DNB

Pour marquer le début des épreuves du brevet, Frédérique Alexandre-Bailly, rectrice de l’académie, chancelière des universités, s’est rendue ce jeudi 28 juin au collège Le Parc à Dijon, où, accompagnée de Mme Greusard, directrice académique des services de l'éducation nationale de Côte-d’Or, elle a été accueillie par le principal de l’établissement, M. Durney.

Actualités - Rectorat de Dijon
Frédérique Alexandre-Bailly

Après un mot d’encouragement aux 59 collégiens présents – et à travers eux à toux ceux de l’académie - la rectrice a distribué les sujets. Au programme : le français.
L’après-midi les collégiens ont planché sur les mathématiques.
Les épreuves se poursuivent vendredi.

Frédérique Alexandre-Bailly

Cette année, sur l’académie de Dijon, ils sont 18 229 candidats, toutes séries confondues, à être concernés par le diplôme national du brevet (DNB).

Rendez-vous mardi 10 juillet, à partir de 10h30, pour les résultats : www.ac-dijon.fr

DNB


Communication en conseil des ministres : les grands principes du service national universel

$
0
0
Lycées

Le Premier ministre a présenté une communication relative aux grands principes du service national universel, le mercredi 27 juin 2018 en Conseil des ministres. Annoncé lors de la campagne présidentielle, le service national universel (SNU) est un projet de société qui a pour finalité de favoriser la participation et l’engagement de chaque jeune dans la vie de la Nation, de valoriser la citoyenneté et le sentiment d’appartenance à une communauté rassemblée autour de ses valeurs, de renforcer la cohésion sociale et de dynamiser le creuset républicain.

Actualités - Evénement

Mis à profit pour prolonger la formation civique et la sensibilisation aux sujets de sécurité et de défense en vue d’accroître la résilience individuelle et collective, le SNU sera un moment dans la vie du citoyen qui lui permettra de partager l’expérience d’une communauté d’âge et de la mixité sociale, et de découvrir les différentes formes d’engagement possibles.

Conformément aux orientations du Président de la République, le SNU sera donc un temps de rencontre, utile et profitable pour chaque jeune, occasion particulière d’apprendre et de recevoir mais également de donner et de s’engager, sans considération d’origines sociales.

Le Président de la République a demandé à un groupe de travail d’examiner les conditions dans lesquelles pourra être créé le service national universel. Ce groupe a rendu son rapport au Gouvernement fin avril.

Le Premier ministre salue la richesse du travail effectué, qui démontre la faisabilité et la soutenabilité d’un tel projet. Aujourd’hui, le Gouvernement valide les grands principes d’architecture proposés par le groupe de travail et notamment son organisation en deux phases distinctes.

La première phase du SNU, dans le prolongement de l’obligation scolaire, constituera l’aboutissement du parcours citoyen débuté à l’école primaire et poursuivi au collège. Effectuée aux alentours de 16 ans, elle sera d’une durée d’un mois maximum.

Vécue par une classe d'âge entière quels que soient l’origine, le sexe, le milieu ou le territoire, cette phase comprendra une occasion de vie collective permettant à chaque jeune de créer des liens nouveaux, d’apprendre une façon neuve de vivre en commun, et de développer sa culture d’engagement pour affermir sa place et son rôle au sein de la société.

Dans un second temps, chaque jeune sera encouragé, notamment par des mesures d’attractivité variées et ciblées, à poursuivre volontairement une période d’engagement d’une durée d’au moins trois mois, liée à la défense et la sécurité (engagement volontaire dans les armées, la police, la gendarmerie, les pompiers, la sécurité civile), à l'accompagnement des personnes, à la préservation du patrimoine ou de l'environnement, ou encore au tutorat, sans que cette liste soit limitative. L’offre des différentes opportunités d’engagements, civils ou militaires, intégrera les volontariats existants et des propositions nouvelles, y compris celles qui émaneront des jeunes eux-mêmes. A titre d’exemple, l’actuel service civique sera l’un des moyens d’accomplir cette seconde phase du SNU.

Dans ce cadre général, le Gouvernement souhaite adapter au mieux les propositions faites à ce stade par le groupe de travail : grâce à un dialogue constructif avec l’ensemble des parties-prenantes, plusieurs modalités de mise en œuvre du SNU doivent maintenant être confrontées aux besoins de la société, aux aspirations de la jeunesse et aux réalités des territoires.

Les différents scénarios et modules de la première phase du SNU, sa durée et les conditions concrètes de leur mise en œuvre doivent être précisés afin de répondre au mieux aux objectifs de brassage social et de cohésion républicaine fixés par le Président de la République.

C’est pourquoi le Gouvernement mandate le groupe de travail pour conduire une phase de consultation ambitieuse.

Cette consultation, qui se déclinera sur les territoires et de manière numérique pour permettre la participation de chacun, associera étroitement les associations, notamment celles qui sont en lien avec la jeunesse et celles qui rassemblent les parents, les mouvements d'éducation populaire, les syndicats, en particulier les syndicats d'enseignants, les professionnels du secteur de la jeunesse, les entreprises et les collectivités territoriales dont le rôle sera central et dont les compétences justifient la pleine participation à la définition du projet.

Sur la base des résultats de cette large consultation, le groupe de travail formulera des préconisations complémentaires permettant au Gouvernement de proposer au Président de la République, avant la fin de l'année, les voies et moyens de déploiement du service national universel dès 2019.

En parallèle, le Gouvernement s’attache à intégrer dans le projet de loi constitutionnelle les amendements rendus nécessaires pour permettre l’instauration de ce service national universel.

Source : Élysée

Prix de l'audace artistique et culturelle : mention spéciale pour le projet de Varennes-le-Grand

$
0
0
Varennes

Le 29 juin 2018, c’est devant le Premier Ministre lui-même, en l’Hôtel de Matignon, qu’a été remis aux représentants du centre pénitentiaire de Varennes-le-Grand, près de Chalon-sur-Saône, la mention spéciale du jury du Prix de l’Audace artistique et culturelle. Une distinction d’autant plus remarquable qu’en six années d’existence de ce prix national, aucune "mention spéciale" n’avait été jusqu’à présent décernée.

Actualités - Concours
Frédérique Alexandre-Bailly

varennesVendredi 29 juin 2018, le Prix de l’Audace Artistique et Culturelle , organisé par la Fondation Culture et Diversité, a été remis au Centre pénitentiaire de Varennes-le-Grand, en présence de Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale, de Françoise Nyssen, ministre de la Culture et de la Communication, et de Frédérique Alexandre-Bailly, rectrice de l’académie de Dijon. Cette attribution de la mention spéciale, qui distingue un projet unique et particulièrement audacieux, est une façon de mettre à l’honneur l’ensemble des projets artistiques et culturels portés chaque année par les enseignants des centres pénitentiaires pour faire réussir leurs élèves.

Ce projet très ambitieux a été pensé comme une vaste action partenariale menée entre l’unité locale d’enseignement du Centre pénitentiaire de Varennes-le-Grand et notamment par Romuald Josserand, professeur des écoles, intervenant dans cette structure. Avec le soutien de sa hiérarchie, et notamment de Pascal Vankenhove, responsable local de l’enseignement du centre pénitentiaire, ainsi que Fabien Belle, proviseur de l’unité pédagogique pénitentiaire régionale de Dijon, il s’est rapproché du Musée de la Photographie Niépce, ainsi que fr la salle de musiques actuelles L’Arrosoir. Le Conseil départemental de Saône-et-Loire et la DRAC Bourgogne-Franche-Comté ont également contribué à la réussite du projet.

L’objectif principal était de sensibiliser à l’art un public d’élèves en situation de décrochage avant leur arrivée au centre pénitentiaire, et qui avaient rarement eu accès auparavant aux musées comme aux salles de spectacles. Il s’agissait en somme de sensibiliser à l’art pour participer à la formation du citoyen. Le développement de sensibilité, de la créativité, des capacités d’expression et de la faculté de juger constituent ainsi les enjeux majeurs de ce programme. L’autonomie et le sens de l’initiative des élèves ont été développés à travers la participation des jeunes à des expériences comme à des pratiques artistiques collectives et partagées.

un pari très audacieux

Sur lavarennes base de clichés tirés du fonds photographique du Musée Niépce, douze jeunes ont travaillé sur l’écriture collaborative dans le but d’élaborer un concert. Ces écrits ont été mis en musique par les élèves eux-mêmes et par quatre musiciens en résidence, membres de l’Association à la Recherche d’un Folklore Imaginaire (ARFI). Deux concerts ont été organisés au centre pénitentiaire ainsi qu’à la salle de L’Arrosoir. Obtenir des autorisations de sortie pour des élèves incarcérés même le temps du concert à L’Arrosoir constituait en soi un pari risqué et audacieux pour ce projet sans équivalent ! Un livret comprenant un carnet de route, les photographies, les textes rédigés ainsi qu’un support numérique et vidéo de la création musicale a également été édité.

Un des élèves investis dans le projet s’est rendu à l’Hôtel de Matignon pour recevoir le trophée de cette mention spéciale, accompagné des responsables du centre pénitentiaire ainsi que de Stéphane Bredin, directeur de l’administration pénitentiaire.

S’il a pu être impressionné par le nombre d’officiels présents, il a aussi goûté à sa juste mesure l’échange même furtif avec Djamel Debouzze, président du jury, qui est venu à la rencontre des élèves lauréats très demandeurs de selfies dans les jardins de la résidence du Premier Ministre.

Télécharger la brochure du prix de l’audace 2018

varennes

"Education à la sécurité routière" les lauréats récompensés

$
0
0
ESR

Sensibiliser les élèves, et les adultes, aux risques routiers en les rendant acteurs de la prévention, tel est l’objectif du prix académique à la « Education sécurité routière » organisé par le rectorat.

Actualités - Concours

Les participants – élèves d’établissements publics et privés sous contrat du 1er du 2e degré et CFA – sont invités à créer un slogan avec en support une vidéo courte (2mn maximum) autour d’une problématique liée à la sécurité routière.

Cette année le thème était : « sécurité routière et addictions » (alcool, tabac, drogue), mais aussi jeux vidéo, téléphones portables et écouteurs musique.

ESR


Jeudi 5 juillet, Pascal Bourgoin, coordonnateur académique « Education à la sécurité routière » a eu le plaisir de remettre aux lauréats leur prix lors d’une cérémonie qui s’est tenue salle des actes du rectorat à Dijon. L’occasion également pour M.  Bourgoin de remercier les partenaires de cette opération et tous ceux qui y ont participé.

Les lauréats

  • Catégorie écoles

1er prix Ecole de Diges (89).
2e prix RPI de Vievy (21)

  • Catégorie collèges

1er prix  Boris-Vian, Talant (21)
2e prix Olivier-de-la-Marche, Saint-Martin-en-Bresse (71)
3e prix Dinet, Seurre (21)

  • Catégorie lycées

1er prix Charles-de-Gaulle, Dijon (21)
2e prix Lycée militaire d’Autun (71)
3e prix Camille-du-Gast, Chalon-sur-Saône (71)

  • Catégorie CFA

CFA automobile, Mâcon (71)

  • Coup de cœur

Lycée Henri-Moisand, Longchamp (21)

ESR

Parcoursup : ouverture de la phase complémentaire

$
0
0
parcours sup

Du 26 juin au 21 septembre, accédez à la phase complémentaire qui permet aux candidats de formuler jusqu'à 10 nouveaux vœux dans des formations qui disposent de places disponibles sur Parcoursup.

Actualités - Politique éducative

Cette nouvelle phase sera ouverte à partir de 14h (heure de Paris) mardi 26 juin, puis les places disponibles seront mises à jour tous les matins à partir de demain, le 27 juin.

La phase complémentaire s'adresse principalement à :

  • ceux qui n'ont pas encore reçu de proposition d'admission ;
  • ceux qui n'ont pas confirmé de vœux au 31 mars inclus ;
  • ceux qui ne se sont jamais inscrits sur Parcoursup. Ces candidats doivent préalablement procéder à leur inscription sur Parcoursup, au plus tard le 21 juillet inclus.

Les candidats qui ont déjà accepté une proposition d'admission en phase principale et qui souhaitent faire de nouveaux vœux dans des formations où des places sont disponibles, peuvent également participer à la phase complémentaire.

calendrier

Envolez-vous avec le BIA !

$
0
0
BIA

Le BIA, brevet d’initiation aéronautique a 50 ans. Pour marquer l’événement, l’académie de Dijon a mis en place, avec de nombreux partenaires, un concours baptisé « Envole-moi ».

Actualités - Concours
Frédérique Alexandre-Bailly

Le principe : produire un support permettant de présenter, de valoriser et de faire la promotion du BIA. Une vingtaine de propositions ont été reçues.
Jeudi 5 juillet, en même temps que la cérémonie de remise des diplômes du brevet d’initiation aéronautique, organisée à l’aérodrome de Dijon-Darois, l’heure était aux récompenses.
L’occasion pour Frédérique Alexandre-Bailly, rectrice de l’académie de Dijon, chancelière des universités de féliciter lauréats et diplômés.
Parrain de cette promotion 2018, Jean-Luc Charon, secrétaire général du comité national des fédérations aéronautiques et sportive (CNFAS) et président de la fédération française aéronautique (FFA) était présent à cette cérémonie ponctuée par des animations.

Frédérique Alexandre-Bailly BIA


Le premier prix du concours « Envole-moi » a été décerné à attribué à Félicien Koelsch et Anthony Paoleti, lycéens à Léon-Blum au Creusot.
Au total 12 réalisations ont été primées sur la vingtaine de projets parvenu au jury, a précisé Didier Perrault, inspecteur de l’éducation nationale, coordonnateur académique du CIRAS, le comité d'initiation régional à l'aéronautique et au spatial.

Quant au BIA 363 étaient inscrits cette année, contre 204 en 2013. Sur ces 363 inscrits, 347 ont présenté l’examen, 249 l’obtenant.
Pour mémoire, le BIA est un diplôme de l’éducation nationale qui valide un niveau d’initiation à la culture scientifique et technique dans le domaine de l’aéronautique et du spatial. L’enseignement est dispensé à raison d’un volume horaire global minimal de 40 heures de cours, auquel peut s’ajouter un temps consacré à des activités expérimentales ou de mise en situation.                   

Pour en savoir plus :http://eduscol.education.fr/sti/formations/tout-niveau/brevet-dinitiation-aeronautique-bia

L'apprentissage, une nouvelle voie pour devenir enseignant

$
0
0
eap

A la rentrée 2018, le dispositif etudiant apprenti professeur (EAP) est mis en place à destination des étudiants dont le projet professionnel est de devenir professeur de lycée ou collège. Il s’agit du dispositif Etudiants Apprentis Professeur (EAP) qui s’inscrit dans le plan national de développement de l’apprentissage dans la fonction publique.

Actualités - Politique éducative

Ce dispositif permet aux étudiants d’entamer très tôt une formation facilitant l’insertion professionnelle et de se préparer efficacement aux concours de recrutement de personnels enseignants du second degré. Tout en disposant d’un avantage financier non négligeable, le versement d’un salaire.

L’académie de Dijon recrute donc des étudiants motivés qui envisagent de devenir professeur de mathématiques, de lettres, d’anglais ou d’allemand au collège ou au lycée, et qui ont besoin d’une véritable aide financière pour la poursuite de leurs études.

Pour intégrer ce dispositif, l’étudiant doit :

  • être âgés de moins de 30 ans le jour de la conclusion du contrat (pas de limite d’âge en cas de handicap) ;
  • avoir le projet professionnel de se présenter à un concours de l'enseignement ;
  • être inscrits en deuxième ou troisième année de licence à l’université de Bourgogne au cours de l’année 2018-2019 et exclusivement dans l’une des disciplines suivantes :

- mathématiques
- lettres
- anglais
- allemand

Si vous remplissez les conditions et que vous souhaitez être recruté, vous devez compléter le dossier de candidature prévu pour les étudiants apprentis professeurs.

Consulter le dossier de candidature

En savoir plus : consulter le document complémentaire


 

Concours général des lycées et des métiers 2018 : cérémonie de remise des prix

$
0
0
Concours général

Chaque année, cette compétition prestigieuse distingue les meilleurs élèves de première et de terminale. Sélectionnés par leurs professeurs pour l'excellence de leurs résultats scolaires, les candidats ont été évalués sur des sujets conformes aux programmes officiels, mais dans le cadre d'épreuves plus exigeantes et plus longues que l'examen du baccalauréat. 49 disciplines étaient proposées aux 17 678 candidats, en France et à l'étranger.

Actualités - Concours
Album photo du concours général des lycées et des métiers 2018
Consulter l'album
 

Chaque année, la remise des prix du concours général des lycées et des métiers est un moment très attendu car il clôt l’année scolaire et récompense les meilleurs travaux des élèves issus des lycées d'enseignement général, technologique et professionnel. Victor Hugo, Louis Pasteur ou encore Jules Michelet font partie de la longue liste d’illustres qui ont été lauréat du concours.

 


Je suis heureux de voir que cette tradition est encore bien vivante puisque pour cette 271e édition ce sont plus de 17 678 candidats qui, partout en France, ont concouru dans plus de 49 disciplines aussi diverses que la philosophie, les arts plastiques, la physique-chimie, la fonderie, les travaux publics ou encore l’ébénisterie. Résolument tourné vers l’avenir ce beau concours continue à incarner les valeurs de la République et de son école : l’engagement, le courage, le travail, le mérite et l’excellence.

Je veux donc adresser mes plus sincères félicitations aux 136 lauréats ainsi qu’à l’ensemble des candidats qui ont donné le meilleur d’eux-mêmes. Je tiens aussi à remercier les professeurs qui ont accompagné leurs élèves dans cette aventure et partagé avec eux ce qui nous rassemble tous : l’amour du savoir. Sans leur investissement tout au long de cette année scolaire, jamais une telle aventure collective n’aurait pu exister.

Félicitations à toutes et à tous et que le bel esprit dont vous avez fait preuve anime notre école.

 
Jean-Michel Blanquer
Ministre de l'Éducation nationale

Le Concours général vu par Maurice Druon

"Turgot, Calonne, Lavoisier... Ces noms, par lesquels s'ouvre le palmarès plus que bicentenaire du Concours général, font la surprise heureuse de tout nouveau lauréat. La veille, ils n'évoquaient pour lui que des sujets d'étude, des figures lointaines, gelées dans les manuels d'histoire ; le lendemain, ils sont devenus ses aïeux, ses ancêtres directs.
Robespierre, Camille Desmoulins, André Chénier... A l'image figée, définitive que les dictionnaires donnent de ces guillotinés illustres, se superpose soudain celle, préalable, émouvante, des collégiens qu'ils furent.
Étrange aristocratie de l'adolescence que le Concours général ! Une aristocratie qui ne se transmet que par le sang des livres, se prouve par un effort de six heures et qui ne donne droit à rien. Une preuve de valeur, et voilà tout.
Les créations qui durent sont celles généralement qui anticipent sur l'Histoire et répondent à un besoin futur. En créant le concours général, au milieu du XVIIIe siècle, afin de dégager les " jeunes élites " de la nation, l'Abbé Legendre anticipait sur la nécessité où allait se trouver la France de puiser ses élites à d'autres sources, dans d'autres couches sociales et par d'autres moyens qu'elle ne l'avait fait dans le passé.
Le nombre, non seulement d'hommes d'État ou de révolution... Sadi Carnot, Jaurès, Herriot, Pompidou... mais de personnalités qui se sont illustrées en tous domaines... Sainte-Beuve, Musset, Baudelaire... Galois, Berthelot, Bergson... dont les noms s'enchaînent sur nos annuaires, ne peut laisser indifférent. Il s'y rencontre une bonne partie des illustrations de deux Empires et de cinq Républiques, la nôtre n'étant pas la plus mal lotie. Il s'y rencontre le plus grand poète et le plus grand savant... Victor Hugo, Pasteur... que la France ait donnés au monde, les deux noms les plus étroitement associés à sa gloire.
Bien sûr, le Concours général ne conduit pas forcément à la Présidence de la République ou au Panthéon. Bien sûr, parmi les sujets qui, présentés au concours - ce qui n'est déjà pas mal - ne furent pas primés, beaucoup ont occupé dans la suite de l'existence des situations plus éminentes que celles de leurs concurrents heureux. Bien sûr, le pouvoir, l'influence, la notoriété sont échus tout aussi bien à des gens qui, pour une raison ou une autre, ne concoururent jamais. Le concours ne donne accès à aucune grande école, n'est indispensable à aucune carrière ni n'en favorise administrativement aucune.
La concentration de célébrités futures que constitue cette compétition n'en demeure pas moins impressionnante.
Toute grande vie, toute grande réussite suppose des dons, du labeur et de la chance. Ce sont précisément les trois conditions d'un succès au Concours général. Ne dispensant ni droit ni profit, apparemment inutile, le concours a cette utilité suprême de justifier chaque année pour des jeunes hommes et jeunes filles, exceptionnels ou valeureux, la confiance qu'ils ont en eux-mêmes. Le premier témoignage public d'une prédestination."

Maurice Druon, membre de l'Académie française,
Président de l'Association des lauréats du concours général de 1967 à 1973, puis de 1983 à 1988

Présentation du Concours général

Institué en 1744 par l'Université de Paris, le Concours général des lycées et des métiers distingue les meilleurs élèves des lycées d'enseignement général, technologique et professionnel. Le Concours général évalue les candidats sur des sujets conformes aux programmes officiels mais dans le cadre d'épreuves plus exigeantes et plus longues que l'examen du baccalauréat. Les candidatures des élèves sont proposées par leurs professeurs au cours du premier trimestre de l'année scolaire. Les épreuves ont lieu au cours du deuxième trimestre. Depuis 2015, les copies des épreuves écrites sont dématérialisées et mises numériquement à disposition des jurys sur une application. Le Concours général s'est ainsi modernisé, créant un pont entre les traditions d'hier et les méthodes innovantes de gestion d'aujourd'hui. Les lauréats, qui symbolisent l'excellence, seront ainsi récompensés dans le cadre d'un concours qui a su évoluer avec son temps et qui saura s'inscrire dans l'avenir.

49 disciplines sont proposées aux candidats :

  •  31 disciplines pour le Concours général des lycées
  • 18 spécialités de baccalauréat professionnel pour le Concours général des métiers.

Depuis plus de deux siècles, le Concours général suit l'évolution de l'Éducation nationale et de la société : 

  • 1744 : l'Université de Paris institue le Concours général pour distinguer les meilleurs élèves, à l'initiative de l'abbé Legendre
  • 1747 : les premiers prix sont décernés en Sorbonne
  • 1924 : ouverture aux élèves de province et aux filles. Il s'adresse à l'origine aux garçons des lycées parisiens
  • 1981 : ouverture aux disciplines technologiques. Le Concours général est initialement limité au français, au latin, au grec, à l'histoire, aux mathématiques et à la physique
  • 1995 : ouverture aux disciplines de l'enseignement professionnel
  • 2015 : le Concours général des métiers fête ses 20 années d'existence

Les lauréats d'aujourd'hui ont d'illustres prédécesseurs :

  • Des hommes politiques : Jean Jaurès, Léon Blum, Georges Pompidou, Jean-Pierre Chevènement, Jean-Louis Bianco
  • Des scientifiques : Marcellin Berthelot, Louis Pasteur, Laurent Schwartz.
  • Des philosophes, des hauts fonctionnaires et des chefs d'entreprise : Jules Michelet, Jorge Semprún, Régis Debray, Jacqueline de Romilly, Charles de Croisset, Laurence Giovacchini, Daniel Bouton, Philippe Camus, Raymond Lévy
  • Des écrivains : Charles Baudelaire, Victor Hugo, Eric-Emmanuel Schmitt.

Le Concours général en chiffres

Les chiffres-clés

Les candidats

17 678 candidats

  • 15 741 au Concours général des lycées
  • 1 937 au Concours général des métiers

Les candidats des pays étrangers

  • 44 pays inscrits, soit 1 419 lycéens
  • 8 prix décernés à des élèves de 7 pays (Le Concours général des métiers n'est pas ouvert à l'étranger)
Les lauréats

Le plus jeune et le plus âgé

  • Le plus jeune lauréat primé : 15 ans
  • Le plus âgé lauréat primé : 24ans

136 prix attribuésà 129 lauréats (4 élèves recevront deux prix et un élève recevra 4 prix)

Autres distinctions

  • 126 accessits
  • 108 mentions
  • Au total : 363 candidats récompensés
Les disciplines

49 disciplines

  • 31 disciplines pour le Concours général des lycées
  • 18 disciplines pour le Concours général des métiers
  • 8 disciplines présentées en classe de première
  • 2 en classes de première et de terminale
  • 41 en classe de terminale

Les disciplines

Concours général des lycées

Disciplines générales

Les élèves de première peuvent concourir :

  • en français
  • en histoire
  • en géographie
  • en arts plastiques
  • en éducation musicale
  • en version latine
  • en thème latin
  • en version grecque.

Les élèves de terminale peuvent concourir :

  • en dissertation philosophique
  • en sciences de la vie et de la terre
  • en mathématiques
  • en physique-chimie
  • en sciences de l'ingénieur
  • en sciences économiques et sociales
  • en allemand
  • en anglais
  • en arabe
  • en chinois (depuis 2007)
  • en espagnol
  • en hébreu
  • en italien
  • en portugais
  • en russe

Classes de première et terminale :

  • arts plastiques
  • éducation musicale.
Disciplines technologiques
  • sciences et technologies industrielles et du développement durable
  • biotechnologies, sciences physiques et chimiques en laboratoire
  • sciences et techniques sanitaires et sociales
  • management et sciences de gestion
  • sciences et technologies de l'hôtellerie et de la restauration

Concours général des métiers

Classes terminales professionnelles
  • Commerce
    • Commercialisation et services en restauration
    • Cuisine
    • Électrotechnique Maintenance des matériels : option A : agricoles, option B : Menuiserie aluminium-verre
    • Métiers et arts de la pierre
    • Métiers de la mode - vêtements
    • Plastiques et composites
    • Technicien d'usinage
    • Technicien en chaudronnerie industrielle
    • Technicien menuisier agenceur
    • Transport
    • Travaux publics
    • Vente (prospection, négociation, suivi de clientèle)énergie équipements communicants
    • Fonderie
    • Maintenance de véhicules

Brevet des métiers d'art

  • Ébéniste

Les jurys de chaque discipline du Concours général peuvent attribuer les récompenses suivantes, par ordre de mérite décroissant :

  • des prix : 1er prix, 2e prix, 3e prix, avec éventuellement des ex-æquo ;

Les candidats récompensés par un "prix" sont dits "primés" : eux seuls sont invités à la cérémonie en Sorbonne

  • des accessits, jusqu'à cinq, avec classement
  • des mentions, jusqu'à dix, avec classement

Le jury étant souverain, il n'est toutefois pas tenu de distribuer toutes ces récompenses.

 

Les sujets

Quelques exemples de sujets

Composition française

Dans un entretien accordé à la revue Le Débat en 1989, Pascal Quignard déclare :
« Le roman est l'autre de tous les genres, l'autre de la définition. Par rapport aux genres et à ce qui généralise, il est ce qui dégénère, ce qui dégénéralise. Là où il y a un toujours, mettez un parfois, là où il y a un tous, mettez un quelques et vous commencez d'approcher du roman.»

Dissertation philosophique séries ES et S

Comment savoir ce qu'il faut faire ?

Dissertation philosophique série L

L'intelligence donne-t-elle des droits ?

Histoire

"Penser la République en France (des années 1880 aux années 1970)"

Sciences économiques et sociales

La mondialisation est-elle coupable ?

Biotechnologies

Le microbiote intestinal, entre homéostasie et pathogénie.

Géographie

Les espaces métropolitains en France : dynamiques de la population, activités et aménagements

Technologies et gestion hôtelières

Ouvrir un restaurant, une aventure risquée ? Disposant d'une formation en hôtellerie restauration ou cadre en reconversion, le futur restaurateur doit apprendre à composer avec les multiples exigences de la création d'entreprise. Cet aventurier des temps modernes sera confronté à différentes alternatives et sera amené à effectuer de nombreux choix.

OEuvres réalisées dans le cadre du Concours général des métiers

Artisanat et métiers d'art : option arts de la pierre : Panneau décoratif de façade

La pièce réalisée est un panneau de façade décoratif aux lignes pures et modernes. On donne le nom de panneau à toute partie d'un ouvrage d'architecture qui offre un champ, une surface de moyenne grandeur, encadrée ou ornée de moulures. Une façade conçue avec ces panneaux doit permettre d'évaluer ses qualités en matière de préservation et d'embellissement du patrimoine tout en pouvant associer les nouvelles possibilités en matière d'isolation thermique et phonique.

L'épreuve finale s'est déroulée du 22 au 25 mai 2018 au lycée des métiers Hector Guimard à Paris.

Artisanat et métiers d'art : option ébéniste : Meuble bibliothèque "Onomatopée"

Le meuble bibliothèque "Onomatopée", fait écho au sujet d'arts appliqués de la première partie de l'épreuve d'admission portant sur la découverte des styles emblématiques de la bande dessinée européenne, américaine et japonaise. Constitué de trois écrins et d'un piétement, il accueille des bandes dessinées, livres et autres effets personnels d'un public adolescent.

Technicien d'usinage : Support de smartphone

Il a été demandé aux candidats de réaliser un support de smartphone. Sa fonction principale est de positionner un smartphone sur un guidon de vélo. Plusieurs matériaux ont été mis en oeuvre : aluminium, laiton, POM, ABS.
L'épreuve finale s'est déroulée du 14 au 18 mai 2018 au lycée des métiers Paul Constans à Montluçon dans l'Allier.

Technicien en chaudronnerie industrielle : « Boite à cascades »

Une entreprise de chaudronnerie industrielle doit réaliser la fabrication d'une série de centrales d'aspiration des fumées. Le travail consiste à étudier une partie de la centrale afin de lancer une production de 15 ensembles.
Objectif du système : placé à l'extérieur de l'atelier, ce système permet d'aspirer les fumées émanant de la découpe plasma. Un système de filtres assainit ces fumées avant leur rejet.

L'épreuve finale s'est déroulée du 15 au 18 mai 2018 au lycée Paul Cornu à Lisieux

Fonderie : "Lion des Flandres stylisé"

Sur de nombreux bâtiments historiques des Hauts-de-France, comme chez les particuliers, on peut trouver des statues stylisées de lions ayant pour origine le lion des Flandres. Ce symbole s'est adapté au gré des demandes pour orner jardins et musées.

Les candidats ont été appelés à réaliser ce "lion" par le procédé de fonderie. L'effet stylistique cubique recherché se traduit par des difficultés techniques qui exigent un réel savoir-faire, une dextérité et quelques astuces que les candidats ont eu à mettre en oeuvre pour réaliser cette oeuvre.
Le premier jour d'épreuve, il a été demandé aux 6 finalistes d'effectuer le moulage de la pièce, de réaliser le dispositif de remplissage et d'effectuer la coulée en fonte dans le moule. Le décochage et le parachèvement de la pièce se sont poursuivis lors de la deuxième journée d'épreuve.
L'épreuve finale s'est déroulée du 23 au 24 mai 2018 au lycée Marie Curie de Nogent sur Oise dans le département de l'Oise.

Les lauréats

Les plus jeunes lauréats

Le plus jeune des lauréats primés au Concours général des lycées
Pierre-Alexandre Bazin, 14 ans (25/08/2003), du lycée général Louis le Grand à Paris

  • 2e prix en mathématiques série S

Le plus jeune des lauréats primés au Concours général des métiers
Hugo Peltre, 17 ans (18/06/2001), du lycée des métiers Paul Emile Victor à Obernai

  • 2e prix en maintenance des matériels option A : agricole

Le lauréat primé le plus âgé au Concours général des métiers
Toni Martin, 24 ans, (13/11/1993), du lycée professionnel des Métiers Société enseignement professionnel du Rhône à Lyon

  • 2e prix en Ébéniste

Les lauréats récompensés plusieurs fois

Octave Vasseur-Bendel du Lycée général Henri IV à Paris

  • 1er prix en géographie
  • 2e prix en histoire
  • 1er prix en thème latin
  • 2e prix en version latine

Alain Zhao du Lycée général Janson de Sailly à Paris

  • 1er prix en dissertation philosophique ES, S
  • 1er prix en sciences économiques et sociales

Benjamin Allouche du Lycée général Louis le Grand à Paris

  • 1er prix en sciences de l'ingénieur
  • 2e prix en physique-chimie

Joséphine Mattatia du Lycée général Louis le Grand à Paris

  • 1er prix en version latine
  • 3e prix en thème latin

Matthieu Bouyer du Lycée général privé Stanislas à Paris

  • 1er prix en version grecque
  • 2e prix en thème latin

Le palmarès national par discipline

Allemand
  • 1er prix : Alexandre Moulart du lycée général franco-allemand à Buc
  • 2e prix : Alissa Heinberg du lycée général Janson de Sailly à Paris
  • 3e prix : Isabelle Zehetner du lycée français de Dusseldorf
Anglais
  • 1er prix : Edwin Collard du lycée français Charles de Gaulle à Londres
  • 2e prix : Ulysse Marquet du lycée général et technologique Georges Duby à Aix-en-Provence
  • 3e prix : Jeanne Gil du lycée général privé Stanislas à Paris
Arabe
  • 1er prix : Aya Zaari Jabri du lycée français Descartes à Rabat
  • 2e prix : Mohamed Adil El Ajraoui du lycée français Lyautey à Casablanca
  • 3e prix : Chaima Djadi du lycée français Alexandre Dumas à Alger
Arts plastiques
  • 1er prix : Victoria Thomson du lycée polyvalent Jacques Cartier à Saint-Malo
  • 2e prix : Emil Turchi du lycée général et technologique Gabriel Fauré à Annecy
  • 3e prix : Carla Stussi du lycée des métiers à Chamalières
Biotechnologies
  • 1er prix : Nathan Broussaudier du lycée général et technologique Louis Pergaud à Besançon
  • 2e prix : Aurélie D'Agostino du lycée polyvalent Julien Wittmer à Charolles
  • 3e prix : Rachel Feuillois du lycée des métiers Sidoine Apollinaire à Clermont-Ferrand
Chinois
  • 1er prix : Emilie Ying du lycée général international à Saint-Germain-en-Laye
  • 2e prix : Hanzi Zhang-Baduel du lycée général Louis le Grand à Paris
  • 3e prix : Sophie Xu du lycée général Claude Monet à Paris
Commerce
  • 1er prix : Romain Boujon du lycée des métiers Pierre Doriole à La Rochelle
  • 2e prix : Laura Courtois du centre de formation d'apprentis de la Chambre de commerce et d'industrie à Poitiers
  • 3e prix : Sandrine Château du lycée professionnel privé des métiers Les Cordeliers à Clermont-Ferrand
Commercialisation et services en restauration
  • 1er prix : Elodie Robin du lycée des métiers à Chamalières
  • 2e prix : Dylan Vanmaele du lycée des métiers Alexandre Dumas à Illkirch
  • 3e prix : Quentin Mouilleron du lycée professionnel des métiers hôteliers à Mazamet
Composition française
  • 1er prix : Pierre Le Divenah du lycée général et technologique Toulouse Lautrec à Toulouse
  • 2e prix : Marie Salloum du lycée général privé Saint-Louis de Gonzague à Paris
  • 3e prix : Laura Frantschi du lycée général Jean Giraudoux à Chateauroux
Cuisine
  • 1er prix : Jules Diarra du lycée des métiers de l'hôtellerie et du tourisme Gascogne à Talence
  • 2e prix : Gaëlle Prigent du lycée des métiers hôteliers Quercy-Perigord à Souillac
  • 3e prix : Ismery Deschamps du lycée des métiers à Chamalières
Dissertation philosophique série L
  • 1er prix : Yaël Le Doledec du lycée général et technologique privé Saint-Martin à Rennes
  • 2e prix : Eve-Marie Grosset-Bourbange du lycée général privé Le Gymnase Jean Sturm à Strasbourg
Dissertation philosophique séries ES, S
  • 1er prix : Alain Zhao du lycée général Janson de Sailly à Paris
  • 2e prix : Augustin Rigollot du lycée général et technologique Alphonse Daudet à Nîmes
Ébéniste
  • 1er prix : Anton Laborde du lycée professionnel de l'Institut européen de formation des Compagnons du Tour de France à Mouchard
  • 2e prix : Toni Martin du lycée professionnel des métiers d'art de la Société d'enseignement professionnel du Rhône à Lyon
  • 3e prix : Quentin Delrue du lycée professionnel des métiers d'art de la Société d'enseignement professionnel du Rhône à Lyon
Éducation musicale
  • 1er prix : Gabriel Durliat  du lycée général Georges Brassens à Paris
  • 2e prix :  Sylvain Bodet  du lycée polyvalent Nelson Mandela à Nantes
Électrotechnique énergie équipements communicants
  • 1er prix : Théo Laurencin du lycée polyvalent Joseph-Marie Carriat à Bourg en Bresse
  • 2e prix : Samuel Havel du lycée des métiers Les Fontenelles à Louviers
  • 3e prix : Pierre Hordesseaux du lycée des métiers Jean Perrin à Longjumeau
Espagnol
  • 1er prix : Romane Barge du lycée général et technologique international Victor Hugo à Colomiers
  • 2e prix : Louise Perrotin du lycée général Louis le Grand à Paris
  • 3e prix : Jeanne Fayol du lycée général privé Stanislas à Paris
Fonderie
  • 1er prix : Nicolas Vermeulen du lycée des métiers Hector Guimard à Lyon
  • 2e prix : William Lefevre du lycée des métiers Henri Brisson à Vierzon
  • 3e prix : Clothilde Kizardjian du lycée des métiers Hector Guimard à Lyon
  • 3e prix : Théophile Latin du lycée des métiers Hector Guimard à Lyon
Géographie
  • 1er prix : Octave Vasseur-Bendel du lycée général Henri IV à Paris
  • 2e prix : Anaëlle Foy  du lycée général Henri IV à Paris
  • 3e prix : Maximilien Guala du lycée général privé Stanislas à Paris
Hébreu
  • 2e prix : Hilany Yelloz  du lycée général et technologique privé Torat Emet à Sarcelles
Histoire
  • 1er prix : Constance Michel du lycée général et technologique Hector Berlioz à Vincennes
  • 2e prix : Octave Vasseur-Bendel du lycée général Henri IV à Paris
  • 3e prix : Théo Laurenceau-Frugier du lycée général et technologique Francois-Joseph Talma à Brunoy
Italien
  • 1er prix : Luca Matteucci du lycée général et technologique international à Sophia Antipolis
  • 2e prix : Gianandrea Giacomazzi du lycée français Chateaubriand à Rome
  • 3e prix : Paul Mella du lycée général et technologique international à Sophia Antipolis
Maintenance des matériels option A : agricoles ; option B : travaux publics et manutention ; option C : parcs et jardins
  • 1er prix : Adrien Giguet du lycée des métiers Claude Lehec à Saint-Hilaire du Harcouet
  • 2e prix : Hugo Peltre du lycée des métiers Paul Emile Victor à Obernai
  • 3e prix : Bryan Bottollier-Depois du lycée des métiers Porte des Alpes à Rumilly
Maintenance de véhicules automobiles option A : voitures particulières ; option B : véhicules de transport routier ; option C : motocycles
  • 1er prix : Thomas Herault du lycée des métiers privé Marcel Callo à Redon
  • 2e prix : Enzo Beschet du lycée professionnel Henri Fertet à Gray
  • 3e prix : Matthieu Roche du lycée professionnel Paul Héraud à Gap
Management et sciences de gestion
  • 1er prix : Jonny Zhu du lycée général et technologique privé Jean-Paul II à Compiègne
  • 2e prix : Océane Romeru Favreau du lycée polyvalent Suzanne Valadon à Limoges
  • 3e prix : Léa Huet du lycée des métiers privé Sainte-Ursule à Caen
Mathématiques série S
  • 1er prix : Paul Cahen du lycée général Louis le Grand à Paris
  • 2e prix : Pierre-Alexandre Bazin du lycée général Louis le Grand à Paris
  • 3e prix : Julien Jampsin du lycée général Louis le Grand à Paris
Mathématiques séries ES, L
  • 1er prix : Alice Pain du lycée général Claude Monet à Paris
  • 2e prix : Thomas Gauvin du lycée général privé Saint-Louis de Gonzague à Paris
  • 3e prix : Elvire Dupuis du lycée général Henri IV à Paris
Menuiserie aluminium - verre
  • 1er prix : Valentin Dumontet du lycée des métiers Sillac à Angoulême
  • 2e prix : Benjamin Coudert du lycée des métiers Sillac à Angoulême
  • 3e prix : Thibaut Chevalerias du lycée des métiers Sillac à Angoulême
Métiers et arts de la pierre
  • 1er prix : Jean Dermit du lycée des métiers d'art Georges Guynemer à Uzès
  • 2e prix : Lylou Libois du lycée des métiers d'art Georges Guynemer à Uzès
Physique - chimie
  • 1er prix : Alexandre Polo du lycée général Louis le Grand à Paris
  • 2e prix : Benjamin Allouche du lycée général Louis le Grand à Paris
  • 3e prix : Victor Ludvig du lycée général Henri IV à Paris
Plastiques et composites
  • 1er prix : Jimmy Ricou du lycée des métiers Rosa Luxemburg au Canet-en-Roussillon
  • 2e prix : William Jely du lycée professionnel Les Savarières à Saint-Sébastien-sur-Loire
Portugais
  • 1er prix : Miguel Simoes Correia du lycée français Charles Lepierre à Lisbonne
  • 2e prix : Céleste Neves de Almeida du lycée général et technologique Alexandre Dumas à Saint-Cloud
Russe
  • 2e prix : Alexandra Jahan de Lestang  du lycée général Hoche à Versailles
  • 3e prix : Mariia Gladkykh du lycée général et technologique international à Sophia Antipolis
  • 3e prix : Masha Kharkhordine du centre national d'enseignement à distance à Rennes
Sciences de la vie et de la terre
  • 1er prix : Elise Ansart du lycée général privé Blomet à Paris
  • 2e prix : Isabeau Sirven du lycée général Henri IV à Paris
  • 3e prix : Léa Feldmann du lycée français de Berlin
Sciences de l'ingénieur
  • 1er prix : Benjamin Allouche du lycée général Louis le Grand à Paris
  • 2e prix : Henri de Pesquidoux du lycée général Janson de Sailly à Paris
  • 3e prix : Léo-Nils Boissier  du lycée général et technologique de la Côtière à La Boisse
Sciences économiques et sociales
  • 1er prix : Alain Zhao du lycée général Janson de Sailly à Paris
  • 2e prix : Margot Douteau du lycée général et technologique Bellevue à Saintes
Sciences et techniques sanitaires et sociales
  • 1er prix : Charlotte Lacroix du lycée général et technologique privé Jeanne d'Arc à Paray-le-Monial
  • 2e prix : Pauline Lherbier du lycée polyvalent privé Saint-Paul à Lens
  • 3e prix : Coralie Daulet du lycée polyvalent Marie de Champagne à Troyes
Sciences et technologies de l'hôtellerie et de la restauration
  • 1er prix : Louise Lapendery du lycée polyvalent Yvon Bourges à Dinard
  • 2e prix : Anaëlle Jeannin  du lycée polyvalent hôtelier Savoie Leman à Thonon-les-Bains
  • 3e prix : Sophie Bonvoisin du lycée polyvalent Maurice Marland à Granville
Sciences et technologies industrielles et du développement durable
  • 1er prix : Clément Lenoël du lycée polyvalent Emilie de Breteuil à Montigny-le-Bretonneux
  • 2e prix : Elie Hygonenq du lycée des métiers Paul Mathou à Gourdan Polignan
  • 3e prix : Camille Thomasse du lycée des métiers du Hainaut à Valenciennes
Sciences physiques et chimiques en laboratoire
  • 1er prix : Jalil Bey du lycée polyvalent Stanislas à Villers-les-Nancy
  • 2e prix : Ugo Zeyssolff du lycée polyvalent Lavoisier à Mulhouse
  • 3e prix : Séverin Férard du lycée général et technologique privé Notre-Dame à Verneuil-sur-Seine
Technicien d'usinage
  • 1er prix : Alexandre Agasse du lycée des métiers Marcel Callo à Redon
  • 2e prix : Héloïse Pede du lycée polyvalent Gustave Eiffel à Armentieres
  • 3e prix : Cantor Ricaud du lycée des métiers Marcel Callo à Redon
Technicien en chaudronnerie industrielle
  • 1er prix : Sébastien Tamini du lycée des métiers Pablo Neruda à Saint-Martin d'Hères
  • 2e prix : Anthony Jean-Louis Laumonnier  du CFAI Oise à Beauvais
  • 3e prix : Julien Archimbaud  du lycée professionnel privé des Métiers La Mache à Lyon
Thème latin
  • 1er prix : Octave Vasseur-Bendel du lycée général Henri IV à Paris
  • 2e prix : Matthieu Bouyer du lycée général privé Stanislas à Paris
  • 3e prix : Joséphine Mattatia du lycée général Louis le Grand à Paris
Transports
  • 1er prix : Benjamin Michel du lycée des métiers Jean Albert Grégoire à Soyaux
  • 1er prix : Erwan Turcas du lycée professionnel privé Joseph Wresinski à Angers
  • 3e prix : Jules Caillot du lycée des métiers Pierre Boulanger à Pont-du-Château
Travaux publics
  • 1er prix : Justin Cordier de l'École privée d'application aux métiers des travaux publics à Egletons
  • 2e prix : Yaë Chatenet  de l'École privée d'application aux métiers des travaux publics à Egletons
  • 3e prix : Antoine Fièvre de l'École d'application aux métiers des travaux publics à Egletons
Vente (prospection, négociation, suivi de clientèle)
  • 1er prix : Corentin Mirabel du lycée professionnel privé des métiers Montplaisir à Valence
  • 2e prix : Yohann Leclerc du lycée professionnel privé des métiers Carrel à Lyon
  • 3e prix : Benjamin Barbier  du lycée professionnel privé des métiers Carrel à Lyon
Version grecque
  • 1er prix : Matthieu Bouyer du lycée général privé Stanislas à Paris
  • 2e prix : Claire Rong du lycée général Louis le Grand à Paris
  • 3e prix : Alexandre Camelin du lycée général Hoche à Versailles
Version latine
  • 1er prix : Joséphine Mattatia du lycée général Louis le Grand à Paris
  • 2e prix : Octave Vasseur-Bendel du lycée général Henri IV à Paris
  • 3e prix : Basilisse Legrain du lycée général Hoche à Versailles
Dossier de presse

Sommaire

  • Le Concours général vu par Maurice Druon
  • Présentation du Concours général
  • Le Concours général en chiffres
  • Les disciplines
  • Les sujets
  • Les lauréats

Télécharger le dossier de presse

Télécharger le palmarès national

 


2 élèves lauréates au concours général des lycées et des métiers

$
0
0
lauréats

Chaque année, cette compétition prestigieuse distingue les meilleurs élèves de première et de terminale. Sélectionnés par leurs professeurs pour l'excellence de leurs résultats scolaires, les candidats ont été évalués sur des sujets conformes aux programmes officiels, mais dans le cadre d'épreuves plus exigeantes et plus longues que l'examen du baccalauréat. 49 disciplines étaient proposées aux 17 678 candidats, en France et à l'étranger.

Actualités - Concours

Les lauréates dans l'académie de Dijon

Discipline – Biotechnologies

Prix remis par : Sigolène MEILHAC, chercheuse et directrice de laboratoire à l’Institut Imagine et à l’Institut Pasteur. Aurélie D'Agostino du Lycée polyvalent Julien Wittmer à Charolles a reçu un 2ème prix.

Agostino

  • Discipline – Sciences et techniques sanitaires et sociales

Prix remis par : Patrick PELLOUX, médecin urgentiste et écrivain, président de l’association des urgentistes de France, chroniqueur Charlie hebdo et Sine mensuel. Référent Laicité. Charlotte Lacroix du Lycée général et technologique privé Jeanne d'Arc à Paray-le-Monial a reçu un 1er prix.

Charlotte Lacroix

Album photo du concours général des lycées et des métiers 2018
Consulter l'album
 

Chaque année, la remise des prix du concours général des lycées et des métiers est un moment très attendu car il clôt l’année scolaire et récompense les meilleurs travaux des élèves issus des lycées d'enseignement général, technologique et professionnel. Victor Hugo, Louis Pasteur ou encore Jules Michelet font partie de la longue liste d’illustres qui ont été lauréat du concours.

 


Je suis heureux de voir que cette tradition est encore bien vivante puisque pour cette 271e édition ce sont plus de 17 678 candidats qui, partout en France, ont concouru dans plus de 49 disciplines aussi diverses que la philosophie, les arts plastiques, la physique-chimie, la fonderie, les travaux publics ou encore l’ébénisterie. Résolument tourné vers l’avenir ce beau concours continue à incarner les valeurs de la République et de son école : l’engagement, le courage, le travail, le mérite et l’excellence.

Je veux donc adresser mes plus sincères félicitations aux 136 lauréats ainsi qu’à l’ensemble des candidats qui ont donné le meilleur d’eux-mêmes. Je tiens aussi à remercier les professeurs qui ont accompagné leurs élèves dans cette aventure et partagé avec eux ce qui nous rassemble tous : l’amour du savoir. Sans leur investissement tout au long de cette année scolaire, jamais une telle aventure collective n’aurait pu exister.

Félicitations à toutes et à tous et que le bel esprit dont vous avez fait preuve anime notre école.

 
Jean-Michel Blanquer
Ministre de l'Éducation nationale

Le Concours général vu par Maurice Druon

"Turgot, Calonne, Lavoisier... Ces noms, par lesquels s'ouvre le palmarès plus que bicentenaire du Concours général, font la surprise heureuse de tout nouveau lauréat. La veille, ils n'évoquaient pour lui que des sujets d'étude, des figures lointaines, gelées dans les manuels d'histoire ; le lendemain, ils sont devenus ses aïeux, ses ancêtres directs.
Robespierre, Camille Desmoulins, André Chénier... A l'image figée, définitive que les dictionnaires donnent de ces guillotinés illustres, se superpose soudain celle, préalable, émouvante, des collégiens qu'ils furent.
Étrange aristocratie de l'adolescence que le Concours général ! Une aristocratie qui ne se transmet que par le sang des livres, se prouve par un effort de six heures et qui ne donne droit à rien. Une preuve de valeur, et voilà tout.
Les créations qui durent sont celles généralement qui anticipent sur l'Histoire et répondent à un besoin futur. En créant le concours général, au milieu du XVIIIe siècle, afin de dégager les " jeunes élites " de la nation, l'Abbé Legendre anticipait sur la nécessité où allait se trouver la France de puiser ses élites à d'autres sources, dans d'autres couches sociales et par d'autres moyens qu'elle ne l'avait fait dans le passé.
Le nombre, non seulement d'hommes d'État ou de révolution... Sadi Carnot, Jaurès, Herriot, Pompidou... mais de personnalités qui se sont illustrées en tous domaines... Sainte-Beuve, Musset, Baudelaire... Galois, Berthelot, Bergson... dont les noms s'enchaînent sur nos annuaires, ne peut laisser indifférent. Il s'y rencontre une bonne partie des illustrations de deux Empires et de cinq Républiques, la nôtre n'étant pas la plus mal lotie. Il s'y rencontre le plus grand poète et le plus grand savant... Victor Hugo, Pasteur... que la France ait donnés au monde, les deux noms les plus étroitement associés à sa gloire.
Bien sûr, le Concours général ne conduit pas forcément à la Présidence de la République ou au Panthéon. Bien sûr, parmi les sujets qui, présentés au concours - ce qui n'est déjà pas mal - ne furent pas primés, beaucoup ont occupé dans la suite de l'existence des situations plus éminentes que celles de leurs concurrents heureux. Bien sûr, le pouvoir, l'influence, la notoriété sont échus tout aussi bien à des gens qui, pour une raison ou une autre, ne concoururent jamais. Le concours ne donne accès à aucune grande école, n'est indispensable à aucune carrière ni n'en favorise administrativement aucune.
La concentration de célébrités futures que constitue cette compétition n'en demeure pas moins impressionnante.
Toute grande vie, toute grande réussite suppose des dons, du labeur et de la chance. Ce sont précisément les trois conditions d'un succès au Concours général. Ne dispensant ni droit ni profit, apparemment inutile, le concours a cette utilité suprême de justifier chaque année pour des jeunes hommes et jeunes filles, exceptionnels ou valeureux, la confiance qu'ils ont en eux-mêmes. Le premier témoignage public d'une prédestination."

Maurice Druon, membre de l'Académie française,
Président de l'Association des lauréats du concours général de 1967 à 1973, puis de 1983 à 1988

Présentation du Concours général

Institué en 1744 par l'Université de Paris, le Concours général des lycées et des métiers distingue les meilleurs élèves des lycées d'enseignement général, technologique et professionnel. Le Concours général évalue les candidats sur des sujets conformes aux programmes officiels mais dans le cadre d'épreuves plus exigeantes et plus longues que l'examen du baccalauréat. Les candidatures des élèves sont proposées par leurs professeurs au cours du premier trimestre de l'année scolaire. Les épreuves ont lieu au cours du deuxième trimestre. Depuis 2015, les copies des épreuves écrites sont dématérialisées et mises numériquement à disposition des jurys sur une application. Le Concours général s'est ainsi modernisé, créant un pont entre les traditions d'hier et les méthodes innovantes de gestion d'aujourd'hui. Les lauréats, qui symbolisent l'excellence, seront ainsi récompensés dans le cadre d'un concours qui a su évoluer avec son temps et qui saura s'inscrire dans l'avenir.

49 disciplines sont proposées aux candidats :

  •  31 disciplines pour le Concours général des lycées
  • 18 spécialités de baccalauréat professionnel pour le Concours général des métiers.

Depuis plus de deux siècles, le Concours général suit l'évolution de l'Éducation nationale et de la société : 

  • 1744 : l'Université de Paris institue le Concours général pour distinguer les meilleurs élèves, à l'initiative de l'abbé Legendre
  • 1747 : les premiers prix sont décernés en Sorbonne
  • 1924 : ouverture aux élèves de province et aux filles. Il s'adresse à l'origine aux garçons des lycées parisiens
  • 1981 : ouverture aux disciplines technologiques. Le Concours général est initialement limité au français, au latin, au grec, à l'histoire, aux mathématiques et à la physique
  • 1995 : ouverture aux disciplines de l'enseignement professionnel
  • 2015 : le Concours général des métiers fête ses 20 années d'existence

Les lauréats d'aujourd'hui ont d'illustres prédécesseurs :

  • Des hommes politiques : Jean Jaurès, Léon Blum, Georges Pompidou, Jean-Pierre Chevènement, Jean-Louis Bianco
  • Des scientifiques : Marcellin Berthelot, Louis Pasteur, Laurent Schwartz.
  • Des philosophes, des hauts fonctionnaires et des chefs d'entreprise : Jules Michelet, Jorge Semprún, Régis Debray, Jacqueline de Romilly, Charles de Croisset, Laurence Giovacchini, Daniel Bouton, Philippe Camus, Raymond Lévy
  • Des écrivains : Charles Baudelaire, Victor Hugo, Eric-Emmanuel Schmitt.

Le Concours général en chiffres

Les chiffres-clés

Les candidats

17 678 candidats

  • 15 741 au Concours général des lycées
  • 1 937 au Concours général des métiers

Les candidats des pays étrangers

  • 44 pays inscrits, soit 1 419 lycéens
  • 8 prix décernés à des élèves de 7 pays (Le Concours général des métiers n'est pas ouvert à l'étranger)
Les lauréats

Le plus jeune et le plus âgé

  • Le plus jeune lauréat primé : 15 ans
  • Le plus âgé lauréat primé : 24ans

136 prix attribuésà 129 lauréats (4 élèves recevront deux prix et un élève recevra 4 prix)

Autres distinctions

  • 126 accessits
  • 108 mentions
  • Au total : 363 candidats récompensés
Les disciplines

49 disciplines

  • 31 disciplines pour le Concours général des lycées
  • 18 disciplines pour le Concours général des métiers
  • 8 disciplines présentées en classe de première
  • 2 en classes de première et de terminale
  • 41 en classe de terminale

Les disciplines

Concours général des lycées

Disciplines générales

Les élèves de première peuvent concourir :

  • en français
  • en histoire
  • en géographie
  • en arts plastiques
  • en éducation musicale
  • en version latine
  • en thème latin
  • en version grecque.

Les élèves de terminale peuvent concourir :

  • en dissertation philosophique
  • en sciences de la vie et de la terre
  • en mathématiques
  • en physique-chimie
  • en sciences de l'ingénieur
  • en sciences économiques et sociales
  • en allemand
  • en anglais
  • en arabe
  • en chinois (depuis 2007)
  • en espagnol
  • en hébreu
  • en italien
  • en portugais
  • en russe

Classes de première et terminale :

  • arts plastiques
  • éducation musicale.
Disciplines technologiques
  • sciences et technologies industrielles et du développement durable
  • biotechnologies, sciences physiques et chimiques en laboratoire
  • sciences et techniques sanitaires et sociales
  • management et sciences de gestion
  • sciences et technologies de l'hôtellerie et de la restauration

Concours général des métiers

Classes terminales professionnelles
  • Commerce
    • Commercialisation et services en restauration
    • Cuisine
    • Électrotechnique Maintenance des matériels : option A : agricoles, option B : Menuiserie aluminium-verre
    • Métiers et arts de la pierre
    • Métiers de la mode - vêtements
    • Plastiques et composites
    • Technicien d'usinage
    • Technicien en chaudronnerie industrielle
    • Technicien menuisier agenceur
    • Transport
    • Travaux publics
    • Vente (prospection, négociation, suivi de clientèle)énergie équipements communicants
    • Fonderie
    • Maintenance de véhicules

Brevet des métiers d'art

  • Ébéniste

Les jurys de chaque discipline du Concours général peuvent attribuer les récompenses suivantes, par ordre de mérite décroissant :

  • des prix : 1er prix, 2e prix, 3e prix, avec éventuellement des ex-æquo ;

Les candidats récompensés par un "prix" sont dits "primés" : eux seuls sont invités à la cérémonie en Sorbonne

  • des accessits, jusqu'à cinq, avec classement
  • des mentions, jusqu'à dix, avec classement

Le jury étant souverain, il n'est toutefois pas tenu de distribuer toutes ces récompenses.

 

Les sujets

Quelques exemples de sujets

Composition française

Dans un entretien accordé à la revue Le Débat en 1989, Pascal Quignard déclare :
« Le roman est l'autre de tous les genres, l'autre de la définition. Par rapport aux genres et à ce qui généralise, il est ce qui dégénère, ce qui dégénéralise. Là où il y a un toujours, mettez un parfois, là où il y a un tous, mettez un quelques et vous commencez d'approcher du roman.»

Dissertation philosophique séries ES et S

Comment savoir ce qu'il faut faire ?

Dissertation philosophique série L

L'intelligence donne-t-elle des droits ?

Histoire

"Penser la République en France (des années 1880 aux années 1970)"

Sciences économiques et sociales

La mondialisation est-elle coupable ?

Biotechnologies

Le microbiote intestinal, entre homéostasie et pathogénie.

Géographie

Les espaces métropolitains en France : dynamiques de la population, activités et aménagements

Technologies et gestion hôtelières

Ouvrir un restaurant, une aventure risquée ? Disposant d'une formation en hôtellerie restauration ou cadre en reconversion, le futur restaurateur doit apprendre à composer avec les multiples exigences de la création d'entreprise. Cet aventurier des temps modernes sera confronté à différentes alternatives et sera amené à effectuer de nombreux choix.

OEuvres réalisées dans le cadre du Concours général des métiers

Artisanat et métiers d'art : option arts de la pierre : Panneau décoratif de façade

La pièce réalisée est un panneau de façade décoratif aux lignes pures et modernes. On donne le nom de panneau à toute partie d'un ouvrage d'architecture qui offre un champ, une surface de moyenne grandeur, encadrée ou ornée de moulures. Une façade conçue avec ces panneaux doit permettre d'évaluer ses qualités en matière de préservation et d'embellissement du patrimoine tout en pouvant associer les nouvelles possibilités en matière d'isolation thermique et phonique.

L'épreuve finale s'est déroulée du 22 au 25 mai 2018 au lycée des métiers Hector Guimard à Paris.

Artisanat et métiers d'art : option ébéniste : Meuble bibliothèque "Onomatopée"

Le meuble bibliothèque "Onomatopée", fait écho au sujet d'arts appliqués de la première partie de l'épreuve d'admission portant sur la découverte des styles emblématiques de la bande dessinée européenne, américaine et japonaise. Constitué de trois écrins et d'un piétement, il accueille des bandes dessinées, livres et autres effets personnels d'un public adolescent.

Technicien d'usinage : Support de smartphone

Il a été demandé aux candidats de réaliser un support de smartphone. Sa fonction principale est de positionner un smartphone sur un guidon de vélo. Plusieurs matériaux ont été mis en oeuvre : aluminium, laiton, POM, ABS.
L'épreuve finale s'est déroulée du 14 au 18 mai 2018 au lycée des métiers Paul Constans à Montluçon dans l'Allier.

Technicien en chaudronnerie industrielle : « Boite à cascades »

Une entreprise de chaudronnerie industrielle doit réaliser la fabrication d'une série de centrales d'aspiration des fumées. Le travail consiste à étudier une partie de la centrale afin de lancer une production de 15 ensembles.
Objectif du système : placé à l'extérieur de l'atelier, ce système permet d'aspirer les fumées émanant de la découpe plasma. Un système de filtres assainit ces fumées avant leur rejet.

L'épreuve finale s'est déroulée du 15 au 18 mai 2018 au lycée Paul Cornu à Lisieux

Fonderie : "Lion des Flandres stylisé"

Sur de nombreux bâtiments historiques des Hauts-de-France, comme chez les particuliers, on peut trouver des statues stylisées de lions ayant pour origine le lion des Flandres. Ce symbole s'est adapté au gré des demandes pour orner jardins et musées.

Les candidats ont été appelés à réaliser ce "lion" par le procédé de fonderie. L'effet stylistique cubique recherché se traduit par des difficultés techniques qui exigent un réel savoir-faire, une dextérité et quelques astuces que les candidats ont eu à mettre en oeuvre pour réaliser cette oeuvre.
Le premier jour d'épreuve, il a été demandé aux 6 finalistes d'effectuer le moulage de la pièce, de réaliser le dispositif de remplissage et d'effectuer la coulée en fonte dans le moule. Le décochage et le parachèvement de la pièce se sont poursuivis lors de la deuxième journée d'épreuve.
L'épreuve finale s'est déroulée du 23 au 24 mai 2018 au lycée Marie Curie de Nogent sur Oise dans le département de l'Oise.

Les lauréats

Les plus jeunes lauréats

Le plus jeune des lauréats primés au Concours général des lycées
Pierre-Alexandre Bazin, 14 ans (25/08/2003), du lycée général Louis le Grand à Paris

  • 2e prix en mathématiques série S

Le plus jeune des lauréats primés au Concours général des métiers
Hugo Peltre, 17 ans (18/06/2001), du lycée des métiers Paul Emile Victor à Obernai

  • 2e prix en maintenance des matériels option A : agricole

Le lauréat primé le plus âgé au Concours général des métiers
Toni Martin, 24 ans, (13/11/1993), du lycée professionnel des Métiers Société enseignement professionnel du Rhône à Lyon

  • 2e prix en Ébéniste

Les lauréats récompensés plusieurs fois

Octave Vasseur-Bendel du Lycée général Henri IV à Paris

  • 1er prix en géographie
  • 2e prix en histoire
  • 1er prix en thème latin
  • 2e prix en version latine

Alain Zhao du Lycée général Janson de Sailly à Paris

  • 1er prix en dissertation philosophique ES, S
  • 1er prix en sciences économiques et sociales

Benjamin Allouche du Lycée général Louis le Grand à Paris

  • 1er prix en sciences de l'ingénieur
  • 2e prix en physique-chimie

Joséphine Mattatia du Lycée général Louis le Grand à Paris

  • 1er prix en version latine
  • 3e prix en thème latin

Matthieu Bouyer du Lycée général privé Stanislas à Paris

  • 1er prix en version grecque
  • 2e prix en thème latin

Le palmarès national par discipline

Allemand
  • 1er prix : Alexandre Moulart du lycée général franco-allemand à Buc
  • 2e prix : Alissa Heinberg du lycée général Janson de Sailly à Paris
  • 3e prix : Isabelle Zehetner du lycée français de Dusseldorf
Anglais
  • 1er prix : Edwin Collard du lycée français Charles de Gaulle à Londres
  • 2e prix : Ulysse Marquet du lycée général et technologique Georges Duby à Aix-en-Provence
  • 3e prix : Jeanne Gil du lycée général privé Stanislas à Paris
Arabe
  • 1er prix : Aya Zaari Jabri du lycée français Descartes à Rabat
  • 2e prix : Mohamed Adil El Ajraoui du lycée français Lyautey à Casablanca
  • 3e prix : Chaima Djadi du lycée français Alexandre Dumas à Alger
Arts plastiques
  • 1er prix : Victoria Thomson du lycée polyvalent Jacques Cartier à Saint-Malo
  • 2e prix : Emil Turchi du lycée général et technologique Gabriel Fauré à Annecy
  • 3e prix : Carla Stussi du lycée des métiers à Chamalières
Biotechnologies
  • 1er prix : Nathan Broussaudier du lycée général et technologique Louis Pergaud à Besançon
  • 2e prix : Aurélie D'Agostino du lycée polyvalent Julien Wittmer à Charolles
  • 3e prix : Rachel Feuillois du lycée des métiers Sidoine Apollinaire à Clermont-Ferrand
Chinois
  • 1er prix : Emilie Ying du lycée général international à Saint-Germain-en-Laye
  • 2e prix : Hanzi Zhang-Baduel du lycée général Louis le Grand à Paris
  • 3e prix : Sophie Xu du lycée général Claude Monet à Paris
Commerce
  • 1er prix : Romain Boujon du lycée des métiers Pierre Doriole à La Rochelle
  • 2e prix : Laura Courtois du centre de formation d'apprentis de la Chambre de commerce et d'industrie à Poitiers
  • 3e prix : Sandrine Château du lycée professionnel privé des métiers Les Cordeliers à Clermont-Ferrand
Commercialisation et services en restauration
  • 1er prix : Elodie Robin du lycée des métiers à Chamalières
  • 2e prix : Dylan Vanmaele du lycée des métiers Alexandre Dumas à Illkirch
  • 3e prix : Quentin Mouilleron du lycée professionnel des métiers hôteliers à Mazamet
Composition française
  • 1er prix : Pierre Le Divenah du lycée général et technologique Toulouse Lautrec à Toulouse
  • 2e prix : Marie Salloum du lycée général privé Saint-Louis de Gonzague à Paris
  • 3e prix : Laura Frantschi du lycée général Jean Giraudoux à Chateauroux
Cuisine
  • 1er prix : Jules Diarra du lycée des métiers de l'hôtellerie et du tourisme Gascogne à Talence
  • 2e prix : Gaëlle Prigent du lycée des métiers hôteliers Quercy-Perigord à Souillac
  • 3e prix : Ismery Deschamps du lycée des métiers à Chamalières
Dissertation philosophique série L
  • 1er prix : Yaël Le Doledec du lycée général et technologique privé Saint-Martin à Rennes
  • 2e prix : Eve-Marie Grosset-Bourbange du lycée général privé Le Gymnase Jean Sturm à Strasbourg
Dissertation philosophique séries ES, S
  • 1er prix : Alain Zhao du lycée général Janson de Sailly à Paris
  • 2e prix : Augustin Rigollot du lycée général et technologique Alphonse Daudet à Nîmes
Ébéniste
  • 1er prix : Anton Laborde du lycée professionnel de l'Institut européen de formation des Compagnons du Tour de France à Mouchard
  • 2e prix : Toni Martin du lycée professionnel des métiers d'art de la Société d'enseignement professionnel du Rhône à Lyon
  • 3e prix : Quentin Delrue du lycée professionnel des métiers d'art de la Société d'enseignement professionnel du Rhône à Lyon
Éducation musicale
  • 1er prix : Gabriel Durliat  du lycée général Georges Brassens à Paris
  • 2e prix :  Sylvain Bodet  du lycée polyvalent Nelson Mandela à Nantes
Électrotechnique énergie équipements communicants
  • 1er prix : Théo Laurencin du lycée polyvalent Joseph-Marie Carriat à Bourg en Bresse
  • 2e prix : Samuel Havel du lycée des métiers Les Fontenelles à Louviers
  • 3e prix : Pierre Hordesseaux du lycée des métiers Jean Perrin à Longjumeau
Espagnol
  • 1er prix : Romane Barge du lycée général et technologique international Victor Hugo à Colomiers
  • 2e prix : Louise Perrotin du lycée général Louis le Grand à Paris
  • 3e prix : Jeanne Fayol du lycée général privé Stanislas à Paris
Fonderie
  • 1er prix : Nicolas Vermeulen du lycée des métiers Hector Guimard à Lyon
  • 2e prix : William Lefevre du lycée des métiers Henri Brisson à Vierzon
  • 3e prix : Clothilde Kizardjian du lycée des métiers Hector Guimard à Lyon
  • 3e prix : Théophile Latin du lycée des métiers Hector Guimard à Lyon
Géographie
  • 1er prix : Octave Vasseur-Bendel du lycée général Henri IV à Paris
  • 2e prix : Anaëlle Foy  du lycée général Henri IV à Paris
  • 3e prix : Maximilien Guala du lycée général privé Stanislas à Paris
Hébreu
  • 2e prix : Hilany Yelloz  du lycée général et technologique privé Torat Emet à Sarcelles
Histoire
  • 1er prix : Constance Michel du lycée général et technologique Hector Berlioz à Vincennes
  • 2e prix : Octave Vasseur-Bendel du lycée général Henri IV à Paris
  • 3e prix : Théo Laurenceau-Frugier du lycée général et technologique Francois-Joseph Talma à Brunoy
Italien
  • 1er prix : Luca Matteucci du lycée général et technologique international à Sophia Antipolis
  • 2e prix : Gianandrea Giacomazzi du lycée français Chateaubriand à Rome
  • 3e prix : Paul Mella du lycée général et technologique international à Sophia Antipolis
Maintenance des matériels option A : agricoles ; option B : travaux publics et manutention ; option C : parcs et jardins
  • 1er prix : Adrien Giguet du lycée des métiers Claude Lehec à Saint-Hilaire du Harcouet
  • 2e prix : Hugo Peltre du lycée des métiers Paul Emile Victor à Obernai
  • 3e prix : Bryan Bottollier-Depois du lycée des métiers Porte des Alpes à Rumilly
Maintenance de véhicules automobiles option A : voitures particulières ; option B : véhicules de transport routier ; option C : motocycles
  • 1er prix : Thomas Herault du lycée des métiers privé Marcel Callo à Redon
  • 2e prix : Enzo Beschet du lycée professionnel Henri Fertet à Gray
  • 3e prix : Matthieu Roche du lycée professionnel Paul Héraud à Gap
Management et sciences de gestion
  • 1er prix : Jonny Zhu du lycée général et technologique privé Jean-Paul II à Compiègne
  • 2e prix : Océane Romeru Favreau du lycée polyvalent Suzanne Valadon à Limoges
  • 3e prix : Léa Huet du lycée des métiers privé Sainte-Ursule à Caen
Mathématiques série S
  • 1er prix : Paul Cahen du lycée général Louis le Grand à Paris
  • 2e prix : Pierre-Alexandre Bazin du lycée général Louis le Grand à Paris
  • 3e prix : Julien Jampsin du lycée général Louis le Grand à Paris
Mathématiques séries ES, L
  • 1er prix : Alice Pain du lycée général Claude Monet à Paris
  • 2e prix : Thomas Gauvin du lycée général privé Saint-Louis de Gonzague à Paris
  • 3e prix : Elvire Dupuis du lycée général Henri IV à Paris
Menuiserie aluminium - verre
  • 1er prix : Valentin Dumontet du lycée des métiers Sillac à Angoulême
  • 2e prix : Benjamin Coudert du lycée des métiers Sillac à Angoulême
  • 3e prix : Thibaut Chevalerias du lycée des métiers Sillac à Angoulême
Métiers et arts de la pierre
  • 1er prix : Jean Dermit du lycée des métiers d'art Georges Guynemer à Uzès
  • 2e prix : Lylou Libois du lycée des métiers d'art Georges Guynemer à Uzès
Physique - chimie
  • 1er prix : Alexandre Polo du lycée général Louis le Grand à Paris
  • 2e prix : Benjamin Allouche du lycée général Louis le Grand à Paris
  • 3e prix : Victor Ludvig du lycée général Henri IV à Paris
Plastiques et composites
  • 1er prix : Jimmy Ricou du lycée des métiers Rosa Luxemburg au Canet-en-Roussillon
  • 2e prix : William Jely du lycée professionnel Les Savarières à Saint-Sébastien-sur-Loire
Portugais
  • 1er prix : Miguel Simoes Correia du lycée français Charles Lepierre à Lisbonne
  • 2e prix : Céleste Neves de Almeida du lycée général et technologique Alexandre Dumas à Saint-Cloud
Russe
  • 2e prix : Alexandra Jahan de Lestang  du lycée général Hoche à Versailles
  • 3e prix : Mariia Gladkykh du lycée général et technologique international à Sophia Antipolis
  • 3e prix : Masha Kharkhordine du centre national d'enseignement à distance à Rennes
Sciences de la vie et de la terre
  • 1er prix : Elise Ansart du lycée général privé Blomet à Paris
  • 2e prix : Isabeau Sirven du lycée général Henri IV à Paris
  • 3e prix : Léa Feldmann du lycée français de Berlin
Sciences de l'ingénieur
  • 1er prix : Benjamin Allouche du lycée général Louis le Grand à Paris
  • 2e prix : Henri de Pesquidoux du lycée général Janson de Sailly à Paris
  • 3e prix : Léo-Nils Boissier  du lycée général et technologique de la Côtière à La Boisse
Sciences économiques et sociales
  • 1er prix : Alain Zhao du lycée général Janson de Sailly à Paris
  • 2e prix : Margot Douteau du lycée général et technologique Bellevue à Saintes
Sciences et techniques sanitaires et sociales
  • 1er prix : Charlotte Lacroix du lycée général et technologique privé Jeanne d'Arc à Paray-le-Monial
  • 2e prix : Pauline Lherbier du lycée polyvalent privé Saint-Paul à Lens
  • 3e prix : Coralie Daulet du lycée polyvalent Marie de Champagne à Troyes
Sciences et technologies de l'hôtellerie et de la restauration
  • 1er prix : Louise Lapendery du lycée polyvalent Yvon Bourges à Dinard
  • 2e prix : Anaëlle Jeannin  du lycée polyvalent hôtelier Savoie Leman à Thonon-les-Bains
  • 3e prix : Sophie Bonvoisin du lycée polyvalent Maurice Marland à Granville
Sciences et technologies industrielles et du développement durable
  • 1er prix : Clément Lenoël du lycée polyvalent Emilie de Breteuil à Montigny-le-Bretonneux
  • 2e prix : Elie Hygonenq du lycée des métiers Paul Mathou à Gourdan Polignan
  • 3e prix : Camille Thomasse du lycée des métiers du Hainaut à Valenciennes
Sciences physiques et chimiques en laboratoire
  • 1er prix : Jalil Bey du lycée polyvalent Stanislas à Villers-les-Nancy
  • 2e prix : Ugo Zeyssolff du lycée polyvalent Lavoisier à Mulhouse
  • 3e prix : Séverin Férard du lycée général et technologique privé Notre-Dame à Verneuil-sur-Seine
Technicien d'usinage
  • 1er prix : Alexandre Agasse du lycée des métiers Marcel Callo à Redon
  • 2e prix : Héloïse Pede du lycée polyvalent Gustave Eiffel à Armentieres
  • 3e prix : Cantor Ricaud du lycée des métiers Marcel Callo à Redon
Technicien en chaudronnerie industrielle
  • 1er prix : Sébastien Tamini du lycée des métiers Pablo Neruda à Saint-Martin d'Hères
  • 2e prix : Anthony Jean-Louis Laumonnier  du CFAI Oise à Beauvais
  • 3e prix : Julien Archimbaud  du lycée professionnel privé des Métiers La Mache à Lyon
Thème latin
  • 1er prix : Octave Vasseur-Bendel du lycée général Henri IV à Paris
  • 2e prix : Matthieu Bouyer du lycée général privé Stanislas à Paris
  • 3e prix : Joséphine Mattatia du lycée général Louis le Grand à Paris
Transports
  • 1er prix : Benjamin Michel du lycée des métiers Jean Albert Grégoire à Soyaux
  • 1er prix : Erwan Turcas du lycée professionnel privé Joseph Wresinski à Angers
  • 3e prix : Jules Caillot du lycée des métiers Pierre Boulanger à Pont-du-Château
Travaux publics
  • 1er prix : Justin Cordier de l'École privée d'application aux métiers des travaux publics à Egletons
  • 2e prix : Yaë Chatenet  de l'École privée d'application aux métiers des travaux publics à Egletons
  • 3e prix : Antoine Fièvre de l'École d'application aux métiers des travaux publics à Egletons
Vente (prospection, négociation, suivi de clientèle)
  • 1er prix : Corentin Mirabel du lycée professionnel privé des métiers Montplaisir à Valence
  • 2e prix : Yohann Leclerc du lycée professionnel privé des métiers Carrel à Lyon
  • 3e prix : Benjamin Barbier  du lycée professionnel privé des métiers Carrel à Lyon
Version grecque
  • 1er prix : Matthieu Bouyer du lycée général privé Stanislas à Paris
  • 2e prix : Claire Rong du lycée général Louis le Grand à Paris
  • 3e prix : Alexandre Camelin du lycée général Hoche à Versailles
Version latine
  • 1er prix : Joséphine Mattatia du lycée général Louis le Grand à Paris
  • 2e prix : Octave Vasseur-Bendel du lycée général Henri IV à Paris
  • 3e prix : Basilisse Legrain du lycée général Hoche à Versailles
Dossier de presse

Sommaire

  • Le Concours général vu par Maurice Druon
  • Présentation du Concours général
  • Le Concours général en chiffres
  • Les disciplines
  • Les sujets
  • Les lauréats

Télécharger le dossier de presse

Télécharger le palmarès national

 

Etudiants, devenez professeur contractuel !

$
0
0
etudiant

Pour l'année scolaire 2018-2019, en partenariat avec l'université de Bourgogne, l'académie de DIJON propose aux étudiants qui souhaitent exercer des missions d'enseignement en complément de leur cursus universitaire, des contrats de travail pour devenir professeur contractuel en vue d'assurer des heures de cours pendant une année complète, des remplacements (vacances de poste) ou des suppléances (suite à maladie, maternité,...) dans les collèges, lycées et lycées professionnels.

Actualités - Rectorat de Dijon

Cette proposition s'adresse notamment :

  • aux étudiants inscrits en L3 et M1
  • aux étudiants inscrits en M2 MEEF
  • Les recrutements couvrent les 4 départements : Côte d'Or, Saône-et-Loire, Nièvre et Yonne de l'académie de Dijon.
  • Toutes les disciplines sont concernées, mais plus particulièrement celles en tension : mathématiques, sciences physiques, anglais, lettres classiques, lettres modernes, technologie, disciplines de la voie technologique et professionnelle.
  • Les contrats à durée déterminée (CDD) proposés sont de droit public, sont conclus pour la durée du besoin d'enseignement et peuvent être établis à temps complet (selon l'obligation réglementaire de service du professeur à remplacer : certifiés 18h, agrégés 15h, EPS 20h) ou à temps incomplet.
- Pour se porter candidats, les étudiants intéressés doivent poser leur candidature sur la plateforme de recrutement PARC : https://extranet.ac-dijon.fr/parc/
 

Chaque candidature sera examinée par un inspecteur de la discipline. Le CV et la lettre de motivation déposés par l'étudiant sur la plateforme PARC devront mentionner les études suivies et les disponibilités horaires du candidat. Les étudiants seront pré-sélectionnés sur la base de leur candidature déposée dans l’application PARC et, en cas d'avis favorable de l'inspecteur, invités en entretien de recrutement. En fonction des besoins d’enseignement à satisfaire, les candidats validés à l'issue de leur entretien d'embauche se verront proposer un contrat dont le nombre d'heures sera adapté pour tenir compte du temps consacré aux études universitaires.

L'objectif consiste à permettre aux étudiants de travailler sans nuire à la réussite de leurs études.

Ainsi :
*les étudiants inscrits en L3 et M1 assumeront un service d'enseignement réduit correspondant à 4 ou 6 heures d'enseignement ;
*les étudiants inscrits en M2B MEEF se verront proposer des contrats pouvant aller jusqu’à un temps plein.

  • Un accompagnement sera mis en place au sein du collège, du lycée ou du lycée professionnel afin de favoriser les conditions d'accueil dans le métier.

devenir enseignant



Livret d'accueil 2018

$
0
0
Livret d'accueil 2015

Votre arrivée dans l'académie de Dijon correspond à ma prise de fonctions en tant que rectrice de Dijon, chancelière des universités. Nous partageons désormais cette chance de travailler ensemble à la réussite des élèves de Bourgogne-Franche-Comté. J'espère que ce livret vous sera un outil précieux pour simplifier vos démarches d'installation.

Frédérique Alexandre-Bailly

Actualités - Rectorat de Dijon

Le numérique au service de l'École de la confiance

$
0
0
numerique

Le système éducatif est engagé dans des transformations pédagogiques et organisationnelles profondes, de l'école maternelle au post-baccalauréat, qui nécessitent de mobiliser fortement les potentialités du numérique. Celui-ci représente en effet un levier de transformation puissant pour accompagner la politique ministérielle dans toutes ses dimensions : transformation pédagogique, avec le numérique au service des apprentissages et de leur évaluation, formation aux enjeux et aux métiers de demain, simplification des relations avec les usagers, modernisation du fonctionnement de l'État avec des systèmes d'information repensés.

Actualités - Politique éducative

Placer les données scolaires au cœur de la stratégie numérique du ministère

L'Éducation nationale produit aujourd'hui un très grand nombre de données liées à la vie scolaire, aux évaluations et aux résultats des élèves, aux travaux et aux devoirs qu'ils réalisent. Une grande variété de données numériques personnelles sont ainsi collectées, stockées et font l'objet de traitements par une multitude d'acteurs (écoles et établissements scolaires, services académiques, collectivités territoriales, partenaires privés fournissant des ressources pédagogiques et services numériques).

Le ministère de l'Éducation nationale doit impérativement s'assurer que les flux, les traitements et l'hébergement de ces données scolaires respectent strictement la vie privée des élèves et de leur famille, des professeurs et des personnels administratifs. La conformité de tous les acteurs aux règles encadrant l'usage de ces données constitue l'une des conditions essentielles de la confiance qui doit prévaloir au sein de chaque communauté éducative.

Ce dispositif de garanties constitue le préalable indispensable au déploiement de nouvelles opportunités dans le domaine pédagogique à l'entrée de l'École dans l'ère du big data.

Mieux protéger pour mieux valoriser sera donc la pierre angulaire de la stratégie ministérielle en matière de données numériques.

Mieux protéger...

Malgré la sensibilité croissante du sujet, un rapport des deux inspections générales du ministère de l'Éducation nationale consacré aux données numériques à caractère personnel a récemment montré que les acteurs de la communauté éducative sont souvent peu conscients de la réutilisation susceptible d'être faite de leurs activités numériques. La diffusion d'équipements et de ressources numériques comme le développement d'expérimentations utilisant les potentialités du numérique renforcent la nécessité d'un cadre de confiance clair et partagé par toute la communauté éducative.

Le règlement général européen sur les données personnelles (RGPD) et la loi du 20 juin 2018 relative à la protection des données personnelles contribuent à créer ce cadre par un renforcement des droits des usagers concernant l'utilisation de leurs données personnelles. En particulier, les responsables de traitement ont l'obligation de fournir une information simple, claire et facilement compréhensible par les personnes concernées dont font partie, dans le cadre des activités scolaires, les élèves et leurs familles.

La nomination d'un délégué à la protection des données (DPD) pour le ministère de l'Éducation nationale et pour le ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation, prévue par le RGPD, sera effective à la rentrée scolaire 2018. Au-delà de cette mise en conformité avec les textes européens, il s'agit d'aider et d'accompagner l'ensemble des acteurs qui utilisent ou souhaitent utiliser des services et des ressources numériques afin qu'ils sachent ce qui est réellement fait des données personnelles qui sont collectées, stockées et traitées. Le DPD national, placé auprès de la secrétaire générale, et les DPD académiques seront chargés de sensibiliser, d'informer et de conseiller les responsables des traitements, notamment les chefs d'établissements et les DASEN, mais aussi et plus largement de veiller au respect du cadre légal relatif aux données personnelles.

Par ailleurs, eu égard aux spécificités des données à caractère personnel recueillies dans le cadre scolaire, un code de conduite propre à l'Éducation nationale sera élaboré au dernier trimestre 2018 puis soumis à la commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil). Modalité d'encadrement renforcé prévue par le RGPD pour les secteurs qui le nécessitent, ce code rassemblera tous les éléments qui s'imposent aux acteurs proposant des services et des ressources numériques aux écoles et établissements scolaires.

En outre, un comité d'éthique et d'expertise en matière de données numériques sera créé et placé auprès du ministre de l'Éducation nationale au cours du dernier trimestre 2018. Cette instance, composée de membres qualifiés, émettra des avis sur l'intérêt public de l'utilisation des données récoltées et traitées dans le cadre scolaire.

Enfin, un accent particulier sera mis sur les actions de formation et d'information des chefs d'établissement et des professeurs aux enjeux de l'utilisation des données scolaires numériques (parcours de formation en ligne, vademecum, guide pour les chefs d'établissement, etc.).

...pour mieux valoriser

L‘ensemble des recherches et des expérimentations actuellement menées dans le secteur du numérique éducatif met en évidence les potentialités pédagogiques majeures offertes par le recueil et l'analyse des données scolaires :

  • au bénéfice de l'élève tout d'abord, qui pourra à terme disposer d'un environnement personnalisé d'apprentissage lui permettant de faire le point sur ses forces et ses besoins, d'accéder à des parcours pédagogiques spécifiques, à des aides adaptées ou encore à des suggestions d'activités ou de ressources correspondant à ses marges de progression ;
  • pour le professeur ensuite, qui, libéré de certaines activités chronophages, pourra réinvestir ce temps dans la différenciation pédagogique grâce à une connaissance renforcée des besoins spécifiques de chacun de ses élèves ;
  • pour les chercheurs en éducation également, qui appréhenderont et comprendront mieux les interactions favorisant les apprentissages, permettant une évolution éclairée des pratiques ;
  • pour le pilotage global du système éducatif enfin l'utilisation statistique des données recueillies permettant d'évaluer des pratiques et d'en modéliser les évolutions futures.

Pour atteindre ces objectifs, le ministère de l'Éducation nationale élabore actuellement une gouvernance des données pour en garantir une meilleure utilisation, circulation et valorisation. Cette gouvernance s'appuiera notamment sur les compétences d'un administrateur ministériel des données qui sera nommé après la rentrée scolaire 2018.

Enseigner au XXIe siècle avec le numérique

Les innovations numériques au service de l'efficacité pédagogique

Le développement de l'intelligence artificielle (IA) dans le domaine scolaire va modifier les pratiques quotidiennes des professeurs en les aidant par exemple à recommander des contenus ou des ressources ou encore à apporter une assistance à l'évaluation et à la correction des travaux de leurs élèves. L'IA pourra également révéler de nouvelles informations sur les parcours d'apprentissage des élèves. Elle permettra ainsi aux professeurs de mettre en oeuvre des situations d'apprentissage et un accompagnement plus proches des besoins de chaque élève.

L'évaluation régulière des élèves devient un outil d'apprentissage à part entière. Le numérique va permettre d'expérimenter une évaluation renforcée, s'appuyant sur une meilleure valorisation des données et des capacités de partage améliorées au sein de la communauté éducative. Les élèves pourront s'entraîner, s'autoévaluer, participer à des moments de diagnostic reposant sur des contenus adaptés à leur niveaux et/ou à leurs besoins. Ces dispositifs contribueront également à décharger les professeurs de certaines tâches de correction fastidieuses en leur fournissant les outils qui donnent la possibilité d'individualiser davantage leur action auprès de chaque élève.

Le déploiement progressif des objets connectés dans tous les domaines de la vie sociale incite à mettre ces différents produits interactifs et communicants au service des apprentissages. Demain, les écrans ne seront très probablement plus l'interface dominante entre les individus et les machines. Qu'il s'agisse de suivre ses progressions (avec des bracelets dédiés à l'éducation physique et sportive), de récupérer des données sur des capteurs de toute nature (lunettes, drones, objets domotiques, etc.) ou encore d'apprendre à programmer (des robots par exemple), les objets connectés vont enrichir et renouveler considérablement les modalités d'apprentissage.

Les simulations immersives (réalité augmentée, réalité virtuelle) permettant aux élèves d'entrer dans des expériences à partir de situations authentiques constituent une autre perspective structurante en matière de pédagogie. Ce champ apparaît en effet particulièrement prometteur pour parvenir à un apprentissage par compétences, notamment dans les voies professionnelles et technologiques.

Les possibilités offertes par la technologie blockchain génèrent également de nouvelles opportunités pour l'éducation nationale, s'agissant notamment de la dématérialisation des diplômes, de la certification des compétences et de la valorisation de ressources libres et ouvertes créées par les professeurs.

De nouveaux outils pour les professeurs et les élèves

Création d'un outil d'entraînement pour les apprentissages fondamentaux à l'école primaire

Le développement de banques de ressources numériques se poursuivra en 2018 et 2019. S'agissant du cycle 2 des apprentissages fondamentaux (du CP au CE2), l'enrichissement des contenus porte en priorité sur les apprentissages fondamentaux en français et en mathématiques, en articulation avec les évaluations nationales des acquis des élèves pour mieux répondre à leurs besoins. Une attention particulière est portée aux élèves à besoins particuliers, pour lesquels l'apport du numérique peut être décisif.

Équipements et ressources numériques dans les classes de CP dédoublées

Les classes de CP dédoublées, qui impliquent des contextes et méthodes d'apprentissage renouvelés, constituent un cadre d'expérimentation privilégié en matière d'innovation numérique. À l'initiative du conseil scientifique de l'éducation nationale, une expérimentation à grande échelle des outils et applications numériques pour les apprentissages fondamentaux ainsi que de nouvelles approches de l'évaluation ont été lancées. Ainsi, des outils numériques développés par des chercheurs dans le cadre du programme gouvernemental d'investissements d'avenir (PIA) feront l'objet d'expérimentations spécifiques. De même, la direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (Depp) expérimentera de nouveaux outils d'évaluation, reposant notamment sur les technologies numériques, qui permettront des évaluations plus régulières et sur des champs plus ciblés que celles conduites aujourd'hui. Le périmètre de ces expérimentations portera, à partir de la rentrée scolaire 2019, sur les classes de CP dédoublées en réseaux d'éducation prioritaire renforcés (REP +).

Lancement du partenariat d'innovation pour l'intelligence artificielle pour les apprentissages de français et de mathématiques de cycle 2

Le partenariat d'innovation est une modalité spécifique de commande publique permettant de financer la recherche et le développement (R&D) sur des projets novateurs et d'en acquérir ensuite les produits. Dans le cadre du PIA, un montant de 8 millions d'euros a été affecté à ce projet. À l'issue d'une pré-sélection des entreprises susceptibles de participer à cette procédure, le lancement du partenariat a été parachevé en juin 2018 avec l'envoi du cahier des charges de la consultation. L‘objectif est de retenir en vue de sa première étape (R&D) trois propositions par discipline (français et mathématiques). La sélection en vue des étapes suivantes (industrialisation puis acquisition et déploiement) prendra en compte les résultats obtenus. Les premiers déploiements sont prévus pour 2020.

Mise en oeuvre d'un outil numérique d'accompagnement du dispositif "Devoirs faits"

Le Centre national d'enseignement à distance (CNED) ouvrira en octobre 2018 un service numérique pour l'ensemble des collégiens dans le cadre du dispositif "Devoirs faits". Ce service innovant fournira aux 3,5 millions d'élèves potentiellement concernés une aide instantanée sur les savoirs du collège ainsi qu'un appui méthodologique leur permettant de gagner en autonomie dans la réalisation de leurs devoirs.

Création d'un outil numérique d'accompagnement et d'entraînement en français et en mathématiques pour les élèves de 2de

À la suite du test de positionnement passé lors de l'entrée au lycée dès septembre 2018, il importe que les élèves ayant un besoin particulier d'accompagnement en français ou mathématiques puissent mesurer leurs progressions tout au long de l'année. Un outil d'aide aux élèves proposera à la rentrée scolaire 2019 des activités d'évaluation et d'auto-positionnement sur l'ensemble des thématiques concernées (étude de la langue et compréhension écrite et orale en français ; organisation et gestion des données, nombres et calculs, grandeurs et mesures et programmation en mathématiques). À partir de ces résultats, des activités d'entraînement ou de renforcement des compétences seront proposées aux élèves. Grâce aux technologies d'intelligence artificielle, les propositions faites aux élèves seront de plus en plus personnalisées et précises. Cet outil pourra être utilisé en autonomie par les élèves, quels que soient l'équipement ou le lieu d'utilisation, mais également sur proposition des professeurs, en complément des travaux demandés aux élèves. Il pourra permettre un suivi régulier des apprentissages par les professeurs.

Création d'une plateforme de ressources numériques éducatives dans le cadre du projet "École, Numérique, Industrie" (ENI)

Dans le cadre du projet ENI, partenariat avec le monde industriel visant à rapprocher l'enseignement scolaire de situations authentiques du secteur pour accroître la motivation des élèves et les familiariser avec des métiers dont ils sont souvent éloignés, la plateforme "Etincel" proposera aux élèves et aux professeurs des ressources numériques pour les enseignements professionnels et technologiques. Ces ressources, qui sont coproduites par l'Education nationale et les acteurs du secteur (branches, fédérations ou entreprises), utilisent toutes les potentialités du numérique (animations, "jeux sérieux", etc.) et s'appuient sur les réalités industrielles d'aujourd'hui. Elles permettent de satisfaire de nombreuses ambitions : valoriser la culture technique et industrielle, appréhender de manière concrète et motivante les enseignements, mettre en avant l'attractivité des métiers, participer à une orientation positive, favoriser une formation partagée entre l'école et les industries, lutter contre les stéréotypes qui peuvent écarter les filles des métiers concernés, développer des ressources libres de droits pour l'éducation comme pour les entreprises. La plateforme "Etincel", avec une première série de ressources, sera ouverte aux professeurs à la rentrée scolaire 2018.

Le numérique au cœur des enjeux de l'École inclusive

Les technologies numériques revêtent un rôle crucial dans l'apport de ressources éducatives adaptées et accessibles aux élèves en difficulté. Si elles ont pris en compte ces enjeux dès leur conception, les ressources numériques peuvent en effet significativement contribuer à améliorer l'accueil et la pleine intégration de ces élèves, et faciliter le suivi de leur scolarité par leurs parents. En proposant systématiquement des modalités d'accès et d'usage alternatifs, les adaptations ainsi proposées profitent alors à tous les élèves, porteurs de handicap ou non. C'est en particulier le parti pris dans les banques de ressources numériques éducatives (BRNE) mises à disposition des élèves et de leurs professeurs du CM1 à la 3e. Il est également apporté un soutien à des ressources conçues pour répondre plus spécifiquement aux besoins des élèves porteurs de handicap de type DYS ou d'autisme, en particulier à travers le dispositif Édu-Up du ministère de l'Éducation nationale.

Accompagner et renforcer le développement professionnel des professeurs

Les plus souvent marqués par la souplesse organisationnelle et la diversité de l'offre, les outils numériques peuvent se révéler très précieux pour la formation des professeurs. Les outils numériques permettent ainsi d'élargir l'offre de parcours de formation, d'assouplir l'organisation des temps de formation et d'assurer conjointement une formation au et par le numérique. Le dispositif M@gistère, qui propose près de 400 parcours de formation et forme chaque année plus de 250 000 professeurs, offre désormais à tous les personnels de l'éducation nationale un très grand nombre de formations en inscription libre et en autonomie.

Le ministère expérimente par ailleurs un service numérique spécifique d'accompagnement des professeurs de classes dédoublées de CP et de CE1 en éducation prioritaire, de type "réseau social". Cet outil a pour objectif de valoriser les retours d'expérience et les échanges de pratiques entre professeurs concernés. Ce nouveau service sera testé dès la rentrée 2018 dans quatre réseaux d'éducation prioritaire.

Le développement des compétences numériques des élèves, et plus largement l'utilisation des outils et ressources numériques dans tous les enseignements, exigent que les professeurs aient reçu une formation adéquate et plus spécifique dans ces domaines. Pour encourager et mieux cibler le développement des formations initiales et continues au numérique des professeurs, il est prévu de compléter la plateforme Pix, outil d'auto-positionnement et de certification des compétences numériques, par un volet spécifiquement adapté aux besoins de ces personnels.

Le numérique doit en outre renforcer les liens entre les résultats de la recherche, les contenus des formations et les pratiques pédagogiques. La valorisation des divers projets composant le programme e-FRAN, notamment via une plateforme en ligne dédiée mise en place d'ici la fin de l'année 2018, contribuera à diffuser auprès des communautés éducatives les résultats les mieux établis par la recherche dans le domaine du numérique éducatif. C'est également dans cette perspective qu'ont été mis en place des incubateurs académiques liant les travaux des chercheurs et les expérimentations conduites dans les écoles et les établissements scolaires. Le conseil scientifique de l'éducation nationale sera également amené à travailler sur les enjeux du numérique éducatif, via notamment la mise en place d'un groupe de travail spécifique sur les apports de l'intelligence artificielle pour l'école d'ici la fin de l'année 2018.

Enfin, le développement de "tiers-lieux" destinés à l'innovation pédagogique, largement ouverts à des acteurs d'horizons très divers (personnels de l'éducation nationale, tissu associatif, chercheurs, formateurs, entreprises, etc.), vise à faciliter l'émergence de solutions, notamment numériques, utiles aux professeurs. Cette priorité s'est traduite par l'ouverture, en juin 2018, du "110 bis", laboratoire d'innovation situé au coeur des services centraux du ministère. La mobilisation de cet espace s'accompagnera au cours des prochains mois de la consolidation progressive d'un réseau de laboratoires sur le territoire national, au sein des établissements scolaires ou d'opérateurs du ministère (par exemple certains ateliers du réseau Canopé, qui participent d'ores et déjà à la fois à la formation et au développement professionnel des professeurs).

Développer les compétences numériques des élèves

Des compétences numériques de plus en plus présentes dans les enseignements

Les enseignements portant spécifiquement sur le numérique ou utilisant des ressources et outils numériques contribuent au développement chez les élèves de compétences clés de la société et du monde professionnel du XXIe siècle : la créativité, l'innovation, le travail en groupe, le travail en mode projet ou encore l'autonomie.

L'enseignement du numérique et de l'informatique proprement dits est également considérablement renouvelé et renforcé avec l'introduction de nouveaux enseignements dans le cadre des réformes du baccalauréat et du lycée.

À ce titre, en classe de seconde, un enseignement obligatoire commun de "Sciences numériques et technologie" de 1 h 30 par semaine sera mis en oeuvre dès la rentrée scolaire 2019. Cet enseignement constitue à la fois un apprentissage de l'informatique en tant que science et un questionnement sur la place du numérique dans la société. En classes de première et terminale, un nouvel enseignement de spécialité "Numérique et sciences informatiques" pourra être choisi par les élèves de la voie générale, à raison de 4 h (première) puis de 6 h (terminale) par semaine. Le contenu détaillé des programmes de ces nouveaux enseignements sera arrêté d'ici la fin de l'année 2018 en vue de leur mise en oeuvre à la rentrée scolaire 2019.

Parallèlement, les programmes et les cursus d'enseignement voient la part de l'éducation aux médias et à l'information renforcée, permettant par exemple d'appréhender la question du rôle des réseaux sociaux en matière d'information.

Programmer pour apprendre

L'acquisition de compétences dans le domaine du numérique, et plus particulièrement de l'informatique, passe souvent par des expériences concrètes que les élèves peuvent vivre et poursuivre, dans un cadre scolaire ou hors temps scolaire. La fabrication numérique, la robotique, l'électronique sont des leviers importants de motivation, de valorisation voire d'inclusion. Le ministère souhaite donc développer très largement les activités de fabrication et de création autour des objets numériques dès l'école primaire (programmation de robots par exemple). Dans ce type d'activités, qui favorisent les nouvelles compétences du XXIe siècle, l'apprentissage du code informatique permet de découvrir et d'acquérir des modes de résolution de problèmes différents des approches scolaires classiques. Hors temps scolaire, le ministère encouragera également la mise en place d'ateliers d'apprentissage du codage dans le cadre du Plan Mercredi mis en oeuvre à compter de septembre 2018.

Une évaluation renforcée des compétences numériques des élèves

Si les compétences informatiques sont évaluées dans le cadre habituel des enseignements, il importe de proposer des modalités d'évaluation spécifiques pour les compétences numériques. Dans cette perspective, les ministères chargés de l'Éducation nationale et de l'Enseignement supérieur ont élaboré un cadre de référence des compétences numériques, inspiré du cadre européen et valable de l'école primaire jusqu'à l'université. Ce référentiel, qui établit une progression des niveaux de maîtrise des compétences numériques, servira de cadre aux évaluations régulières des élèves, qu'il s'agisse de la scolarité obligatoire ou des nouvelles certifications réalisées via la plateforme Pix. Celle-ci permet aux élèves de fin de 3e et de lycée de tester régulièrement leurs compétences numériques grâce à une série d'exercices qui s'adaptent à leur niveau de maîtrise. Il est prévu de proposer la certification Pix pour les élèves de 3e et les lycéens du cycle terminal dans les collèges et lycées volontaires au cours de l'année scolaire 2018-2019, avant sa généralisation progressive à compter de l'année scolaire 2019-2020.

Créer de nouveaux liens avec les acteurs et les partenaires de l'École

Simplifier les démarches administratives pour les parents d'élèves

Le numérique constitue un levier majeur de simplification des différentes formalités administratives demandées aux parents d'élèves, en application notamment du principe "Dites-le nous une fois". Il permet également d'apporter en temps réel aux parents une information qualitative et quantitative sur la scolarité de leurs enfants et de rapprocher les parents du corps enseignant. Le ministère de l'Éducation nationale s'inscrit à cet égard pleinement dans l'objectif de dématérialisation des relations administrations-usagers fixé dans le cadre de la démarche Action Publique 2022.

Un certain nombre de démarches sont d'ores et déjà dématérialisées, comme les demandes de bourses en collège ou en lycée, l'accès au livret scolaire unique, l'inscription ou encore la fiche de renseignement dans le second degré. Le ministère va accentuer et accélérer la dématérialisation de ses procédures au cours des prochains mois et années, avec le souci d'en évaluer le niveau de satisfaction auprès des usagers.

La généralisation d'un dispositif unique d'authentification FranceConnect Education pour tous les services et ressources pédagogiques, articulé avec la stratégie interministérielle FranceConnect et permettant notamment de gérer le lien entre responsables légaux et élèves mineurs, constituera un facteur déterminant de réussite de cette transformation.

Mieux accompagner les acteurs de la Edtech

Afin de favoriser le développement et la diffusion des innovations numériques dans les domaines pédagogiques et éducatifs, le ministère de l'Éducation nationale souhaite proposer une série d'actions visant à accompagner et soutenir les activités du secteur de la EdTech.

Il convient d'abord de favoriser une meilleure connaissance par ces acteurs de l'écosystème des écoles et des établissements scolaires, qu'il s'agisse du fonctionnement de l'éducation nationale et des collectivités territoriales, des grandes orientations de la politique éducative, des besoins réels des professeurs ou encore des cadres d'utilisation des outils, ressources et services numériques (code de conduite, référentiels, schémas directeurs, guides, etc.). Les services du ministère (direction du numérique pour l'éducation, services des achats, DPD, etc.) vont développer leurs interactions avec les acteurs de la EdTech, notamment dans le cadre des travaux menés au "110 bis", laboratoire de l'innovation de l'éducation nationale.

Le ministère de l'Éducation nationale a aussi la volonté de développer et d'accompagner les innovations en favorisant les expérimentations des acteurs de la EdTech dans les écoles et les établissements scolaires. Le cadre et les conditions dans lesquels les entreprises peuvent aujourd'hui nouer des partenariats avec les écoles et les établissements ne sont pas suffisamment explicites, tant en académie qu'au niveau central. Le niveau d'intervention des personnels de l'éducation nationale dans ces expérimentations sera également précisé.

Le ministère souhaite donc développer une démarche explicite et transparente d'appui aux entreprises de la EdTech, en favorisant les échanges et le travail en partenariat avec les écoles, collèges et lycées. Cette action pourra notamment prendre la forme d'appels à manifestation d'intérêt (AMI) auprès des acteurs de la EdTech pour la réalisation d'expérimentations de projets numériques innovants. Ces AMI seront proposés à intervalles réguliers en 2019 sur les thématiques déterminées par le ministère avec l'appui du conseil scientifique de l'éducation nationale. Les entreprises sélectionnées par un comité de pilotage multi-acteurs, et qui concluront une convention d'expérimentation avec le ministère et s'engageront, en contrepartie du soutien apporté par celui-ci (lieux d'expérimentation, ingénierie, accompagnement, évaluation) à diffuser les apports de l'expérimentation et les résultats des évaluations

Renforcer le partenariat avec les collectivités locales et soutenir tous les territoires

Les collectivités territoriales sont les partenaires incontournables du ministère de l'Éducation nationale dans la stratégie de déploiement du numérique à l'École. La création du service public du numérique éducatif a rendu nécessaire une nouvelle démarche de gouvernance, concertée et partagée, entre tous les niveaux de pouvoirs publics, permettant d'associer pleinement les collectivités territoriales et l'État, dans le respect des compétences de chacun.

Pour atteindre cet objectif, un "comité des partenaires du numérique pour l'éducation" a été mis en place à l'initiative conjointe des collectivités territoriales et du ministère de l'Éducation nationale. Il vise à structurer et systématiser les échanges entre ses membres. Il permet d'associer tous leurs représentants à la définition d'une stratégie globale et partagée pour déployer le numérique éducatif dans les territoires, en mutualisant et valorisant les expériences de chacun des partenaires. Le comité des partenaires apporte une contribution à la stratégie nationale du numérique éducatif à plusieurs niveaux : appels à projets, référentiels et guides, réflexions prospectives.

Le partenariat avec les collectivités repose également sur des actions concrètes, bénéficiant pour certaines d'entre elles de l'appui financier des Investissements d'avenir (PIA 2 avec l'action INEE).

Un effort particulier pour les territoires ruraux : l'appel à projet "Écoles numériques innovantes et ruralité" (ENIR)

Lancé en juin 2018, après une première phase de préfiguration en 2017, cet appel à projets financé par le PIA est destiné à soutenir le développement de l'innovation numérique pour l'éducation dans les écoles des communes rurales (communes de moins de 2 000 habitants). Les réponses, attendues jusqu'à la fin novembre 2018, doivent être construites conjointement par les collectivités et les équipes pédagogiques et définir un projet pédagogique et éducatif innovant utilisant le numérique. Avec cet appel à projets, ce sont plus de 3 000 écoles qui bénéficieront d'équipements numériques destinés à favoriser les apprentissages, à enrichir le lien avec les familles et à conforter l'attractivité de l'école et des territoires ruraux.

La continuité des actions menées avec les départements à travers l'expérimentation des projets "AVEC" (Apportez votre équipement personnel de communication)

L'appui de l'État aux collectivités en matière d'équipements numériques peut prendre des formes variées. Si la modalité d'amorçage en cours de déploiement consiste à co-financer l'achat par les collectivités d'équipements mobiles ("plan tablettes"), la très large diffusion de ces équipements au sein de la population et leur renouvellement technique rapide conduisent à privilégier désormais le développement de projets dits "AVEC" (ou "BYOD", "Bring Your Own Device") reposant sur l'usage en milieu scolaire de leur propre équipement par les élèves. Les projets AVEC contribuent à l'allégement du poids des cartables, facilitent l'appropriation de l'outil numérique par les intéressés et atténuent les risques de rupture entre pratiques numériques éducatives effectuées pendant et hors du temps scolaire. Ces progrès devant bénéficier à l'ensemble des élèves, quelle que soit leur situation sociale, leur déploiement s'accompagnera du co-financement par l'État de dispositifs expérimentaux spécifiquement destinés aux élèves ne disposant pas d'un équipement mobile utilisable en classe.

Création d'un service web Mangrove de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), pour disposer d'un observatoire en ligne, exhaustif, et dynamique du numérique dans les établissements scolaires et les territoires

La Banque des Territoires, structure unique créée par la CDC en 2018 porteuse de solutions de financement et d'accompagnement destinées aux collectivités territoriales, porte, en partenariat avec le ministère de l'Éducation nationale, des outils et des initiatives pour renforcer le pilotage des politiques éducatives territoriales.

Lancé fin 2018, le service web Mangrove permettra :

  • de disposer d'un observatoire en ligne, exhaustif et dynamique du numérique dans les établissements scolaires et les territoires,
  • d'éclairer le déploiement des politiques publiques éducatives et les choix d'investissements à venir,
  • de favoriser et accompagner le développement des usages, des services et des infrastructures du numérique éducatif et ainsi contribuer à réduire la fracture numérique territoriale
Un accompagnement des projets d'architecture scolaire avec le dispositif Archiclasse

Depuis mai 2018, le ministère de l'Éducation nationale met à disposition des collectivités territoriales et de l'ensemble des acteurs de l'École le site Archiclasse destiné à les accompagner dans la définition de leurs projets d'aménagement, de rénovation et de construction scolaires dans un contexte profondément transformé par les technologies numériques. Le site propose une démarche d'aide et de conseil reposant sur des outils concrets. L'ambition d'Archiclasse est de faciliter la concertation pour définir de façon conjointe le projet de rénovation ou de construction scolaire et d'y associer les acteurs de l'école et ses usagers. Archiclasse contribue ainsi à la réflexion et aux actions visant la qualité de vie et de travail à l'école.

Dossier de présentation "Le numérique au service de l'École de la confiance"

SOMMAIRE

  • Placer les données scolaires au cœur de la stratégie numérique du ministère
  • Enseigner au XXIe siècle avec le numérique
  • Accompagner et renforcer le développement professionnel des enseignants
  • Développer les compétences numériques des élèves
  • Créer de nouveaux liens avec les acteurs et les partenaires de l'école

Télécharger le dossier de présentation "Le numérique au service de l'École de la confiance"

 

Impulsions 2018, le lauréat académique

$
0
0
impulsion 2018

Le prix Impulsions est le rendez-vous des personnels de l’éducation nationale qui souhaitent faire connaître et développer leur idée ou projet de modernisation, de simplification et d’amélioration de leur travail.

Actualités - Rectorat de Dijon

Dans l’accomplissement quotidien de leurs missions, les personnels sont amenés à imaginer, seuls ou avec des collègues, d’autres formes d’organisation du travail, des améliorations d’outils qui permettent à l’administration d’être plus efficace et de rendre un service de meilleure qualité à ses usagers.

Après quatre éditions et plus de 1 200 projets déposés, le prix Impulsions 2018 présente quelques nouveautés. Il est placé sous le signe de la confiance et de la bienveillance et est animé par des référents Impulsions pour accompagner leurs collègues dans l’élaboration et la valorisation de leur dossier de candidature.

L’académie de Dijon fait partie des 20 académies qui se sont engagées dans le dispositif 2018.

Impulsions 2018, les projets présentés au jury et le lauréat académique

5 projets ont été étudiés par le jury au regard de :

  • la qualité de description des objectifs;
  • la complétude des dossiers;
  • la profondeur d'analyse de l'existant;
  • la pertinence de la solution proposée.

Voici les 5 projets :

  • « Création d’un espace de partage agence comptable/établissements rattachés », projet soutenu par Olivier Malfait & Fabien Thorel (agence comptable lycée Jacques Amyot)

  • « Application sécurisée PPMS en ligne », projet soutenu par Patricia Donnarel & Isabelle Reberol (conseillère et assistante de prévention DSDEN 71)

  • « Aide Dynamique Aux Usagers », projet soutenu par Hanane Benyahia  et Mathieu Gauthier (gestionnaires concours à la DEC)

  • « La Fabrique », projet soutenu par Francis Bordes, Jonathan Tessé & Jacques Dubois (DANE rectorat Dijon)

  • « Les Instants Numériques », projet soutenu par Clairelle Lestage & Fouzia Salihi (conseillères en numérique éducatif DANE Dijon)
Le projet « Aide Dynamique Aux Usagers » soutenu par Hanane Benyahia et Mathieu Gauthier a été nommé lauréat académique.
 



Impulsion 2018

Le service civique universel

$
0
0
SERVICE CIVIQUE

Dans le cadre du plan d’action du ministère de l’Education Nationale et de l’Agence du Service Civique, l’académie de Dijon poursuit la mise en œuvre du service civique et renforce le volontariat des jeunes dans des missions au sein des écoles, des collèges, des lycées, des centres d’information et d’orientation, au rectorat.

Actualités - Zoom sur

Qu’est-ce que le service civique dans l’Education Nationale ?


Le Service Civique s’adresse à tous les jeunes âgés de 18 à 25 ans (30 ans pour les personnes en situation de handicap). Il s’agit d’un engagement volontaire d’une durée de 6 à 9 mois (30 h/semaine), débutant du 3 septembre 2018 jusqu’à la fin de l’année scolaire.
Exemple de mission : « accompagner des projets d’éducation à la citoyenneté » ou « contribuer aux activités éducatives, pédagogiques et citoyennes de l’école primaire » (11 missions pour l’éducation nationale).

Le Service civique c’est :

  • vivre une expérience de mixité sociale, au contact de publics variés ;
  • une mission accessible à tous ;
  • pas besoin de pré-requis, de diplôme ou de compétences particulières.
  • une indemnité de 580 € par mois,
  • une couverture sociale.

Le volontaire bénéficie de l’accompagnement d’un tuteur, d’une formation civique et citoyenne ainsi que d’une formation aux premiers secours.

Les offres de missions sont sur le site service.civique.gouv.fr (domaine « éducation pour tous »).
Inscrivez-vous vite : une mission vous attend près de chez vous !

www.service-civique@gouv.fr

Les professeurs stagiaires ont fait leur rentrée

$
0
0
rentree2018

L’heure de la rentrée a déjà sonné pour les professeurs stagiaires du premier et du second degré. Une rentrée marquée par l’accueil institutionnel, au campus de l’université de Bourgogne à Dijon pour les stagiaires du second degré, au rectorat de Dijon pour les stagiaires du premier degré, ce lundi 27 août.

Actualités - Action
Frédérique Alexandre-Bailly

Dans les deux cas les stagiaires ont été accueillis par Frédérique Alexandre-Bailly, rectrice de l’académie de Dijon, chancelière des universités et la directrice de l’école supérieure du professorat et de l’éducation (ESPE), Elsa Lang-Rippert, en présence notamment des inspecteurs d’académie.

A cette occasion la rectrice a tout particulièrement insisté sur la formation tout au long de la vie : «  nous devons tous rester en mouvement », avant d’évoquer le contexte national, comme la réforme  des lycées et le projet académique «  Dijon académie apprenante » (*). 
« Vous avez choisi le plus beau métier du monde, le métier qui a le plus de sens, a également souligné la rectrice, mais un métier très exigeant porteur d’une grande responsabilité : faire réussir les élèves, tous les élèves ».

Frédérique Alexandre-Bailly rentrée


On compte cette année un peu plus de 300 professeurs stagiaires (303) du second degré (public et privé) et 315 pour le premier degré, dont 74 en Côte-d’Or, 38 dans la Nièvre, 112 en Saône-et-Loire et 91 dans l’Yonne.

académie de Dijon

(*) http://academie-apprenante.ac-dijon.fr/


Ensemble pour l'École de la confiance : année scolaire 2018-2019

$
0
0
ensemble

Jean-Michel Blanquer a présenté l'année scolaire 2018-2019, nouvelle étape pour bâtir l'École de la confiance, le mercredi 29 août 2018.

Actualités - Politique éducative

La rentrée 2018 dans l'académie de Dijon

$
0
0
dossier de presse

Lors d'une conférence de presse au Collège Jean Rostand de Quetigny, Frédérique Alexandre-Bailly a présenté le jeudi 30 aôut les grands enjeux de la rentrée 2018-2019.

Actualités - Rectorat de Dijon

"Chaque enfant, chaque adolescent, est en droit de recevoir un enseignement qui lui permettra de progresser, de continuer à se construire et de s’insérer ensuite dans la société du XXI ème siècle. Tous nos efforts doivent donc porter sur le fait de garantir l’acquisition du socle commun de connaissances, de compétences et de culture, par tous les élèves. Cela passe par un changement de regard et de pratiques, à commencer par une réflexion sur la place du travail personnel des élèves".

Consulter le dossier de presse de la rentrée scolaire 2018-2019 (Académie de Dijon)

Conférence de presse

Une rentrée en musique

$
0
0
UNE

Pour la deuxième année, la musique a été au cœur de la rentrée, lundi, dans les établissements scolaires de l’académie.

Actualités - Evénement
Frédérique Alexandre-Bailly

Frédérique Alexandre-Bailly, rectrice de l’académie de Dijon, chancelière des universités, a pu partager avec des élèves et des personnels de l’éducation nationale quelques « morceaux » choisis. Elle s’est ainsi rendue dans l’Yonne tout d’abord, à l’école des Rosoirs d’Auxerre, puis au collège Jacques-Prévert de Migennes. Entre-temps la rectrice a inauguré aux côtés de la présidente de région, Marie-Guite Dufay, la plateforme logistique du lycée des métiers Louis-Davier de Joigny.

Rentrée en musique Rentrée en musique

Cette « ballade » s’est poursuivie en Côte-d’Or, au collège Félix-Tisserand de Nuits-Saint-Georges. L’occasion également d’aborder avec les personnels et les élus les grands dossiers de cette rentrée 2018.

Rentrée en musique Rentrée en musique

Evelyne Greusard, directrice académique des services de l’éducation nationale de la Côte-d’Or a joué également la partition à Nuits-Saint-Georges en se rendant à l’école Marie-Maignot après avoir visité quatre écoles dijonnaises : Montchapet, Flammarion, Ouest et Anjou.

Evelyne Greusard Rentrée en musique

Cette deuxième rentrée en musique participe de la politique volontariste des ministres de l’Éducation nationale et de la Culture pour démocratiser l’accès aux pratiques artistiques. En cette rentrée, le plan choral (ici) se déploie avec notamment la création d’un enseignement facultatif de chant choral au collège (2h/semaine).

Le plan chorale : une priorité donnée à la musique
http://musique.ac-dijon.fr/spip.php?article124



Cérémonie de remise des palmes académiques

$
0
0
palmes

Vendredi a eu lieu la cérémonie de remise des palmes académiques au rectorat de l’académie de Dijon. Cet événement a réuni les personnels du rectorat et de la DSDEN de Côte-d’Or.

Actualités - Rectorat de Dijon
Frédérique Alexandre-Bailly

A l’occasion de cette émouvante cérémonie, la rectrice Frédérique Alexandre-Bailly, a rappelé que cette distinction, créée en 1808 par Napoléon, « honore une action au service de l’Ecole ». Elle a également indiqué que le ministère était attaché à ce que cette distinction soit le reflet le plus fidèle possible de la réalité de la communauté éducative, du travail réalisé par chaque agent quelle que soit sa fonction.

palmes palmes

Puis, « rompant avec la tradition », la rectrice a souhaité « donner la parole à ceux qui côtoient au quotidien les récipiendaires », à savoir leur chef de service respectif. Elle a ensuite procédé à la remise des distinctions : 1 commandeur, 3 officiers et 15 chevaliers.

palmes palmes

Les récipiendaires

  • Commandeur : Mme Mireille Manière (DSDEN de Côte d’Or)
  • Officiers : Mme Marie-Anne Raou (DSI), MM. Pascal Mathieu (DSDEN 21) et Roland Castellani (DSI)
  • Chevaliers : Mesdames Catherine Pascual (DSDEN 21), Caroline Steimetz (DSDEN 21), Alexandra Carteret (DAF), Sandrine Bretin (DEC), Marie-Laurence Stroheker (DEC), Laurence Adry (DSI), Marie Malgogne(DSI), Karène Helou (DAFPIC), Messieurs Arnaud Gady (DAF), Alain Salmain (DAFOP), Patrick Valdenaire (DSI), Nicolas Morot (SAI), Michel Coulon (DAFPIC), Jean-Christophe Picot (DAFPIC), Marc Mebtouche (Cabinet).
palmes palmes

Palmes académiques

Inscriptions aux concours de recrutement d'enseignants

$
0
0
enseignants

Les inscriptions aux concours de recrutement d'enseignants ont lieu du 11 septembre 2018, à partir de midi, au 11 octobre 2018, 17 heures, heure de Paris.

Actualités - Concours
Viewing all 770 articles
Browse latest View live