Élections du comité académique à la vie lycéenne (CAVL)
L'académie mobilisée pour la journée de la laïcité du 9 décembre

Comme chaque année, le ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse s’inscrit dans les commémorations annuelles de la journée de la laïcité à l’École du 9 décembre, journée anniversaire de la loi de 1905 portant séparation des Églises et de l’État.
Cette journée est l’occasion de rappeler l’importance d’une pédagogie de la laïcité, principe fondateur de notre École et de notre République, ainsi que des valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité qui lui sont étroitement liées et que l’École a pour mission de faire partager aux élèves.
La communauté éducative dans son ensemble est mobilisée et propose de nombreuses actions dans l’académie :
Consulter les principales actions dans l’académie
Contacter l'Équipe académique laïcité fait religieux

Jean-Michel Blanquer s'adresse aux lycéennes et lycéens de seconde

Jean-Michel Blanquer s'adresse aux élèves de seconde générale et technologique qui vont choisir leurs trois spécialités pour la classe de première : « Vous avez la liberté de choisir en suivant vos goûts et vos centres d'intérêts ». Les élèves de seconde 2018-2019 passeront le nouveau baccalauréat en 2021.

Vigipirate est porté au niveau « Urgence attentat » sur l'ensemble du territoire
En route vers le baccalauréat 2021

Le nouveau baccalauréat 2021 redonne au baccalauréat son sens et son utilité avec un examen remusclé et un lycée plus simple, plus à l'écoute des aspirations des lycéens, pour leur donner les moyens de se projeter vers la réussite dans l'enseignement supérieur. Retrouvez toute l'information sur le nouveau lycée et baccalauréat.

Tout ce qu'il faut savoir pour aborder le baccalauréat général et technologique en toute confiance
- Calendrier de la seconde 2018-2019
- Calendrier de la première 2019-2020
- Calendrier de la terminale 2020-2021
- Les parcours de lycéens
- Les enseignements communs, les spécialités et les séries en première et terminale
- Les épreuves du nouveau baccalauréat
Retrouvez toutes les infographies sur le baccalauréat 2021
Toutes les vidéos sur les nouveautés du lycée et du baccalauréat
Parcourez la playlist vidéos pour en savoir plus sur les nouveautés du lycée et du baccalauréat 2021 :
Baccalauréat 2021 : quelles nouveautés ?
Faire du baccalauréat un tremplin pour la réussite
Le baccalauréat 2021 reposera pour une part sur un contrôle continu et pour une autre part sur des épreuves terminales.
L'épreuve anticipée écrite et orale de français se déroulera comme aujourd'hui en fin de première.
En terminale, deux épreuves écrites portant sur les enseignements de spécialité auront lieu au printemps et deux épreuves se dérouleront en juin : l'écrit de philosophie et l'oral préparé au long des années de première et terminale (cycle terminal).
Le contrôle continu sera composé d'épreuves communes organisées pendant le cycle terminal.
4 principes inchangés
- Le bac est obtenu à partir d'une moyenne générale de 10/20
- Il n'existe pas de note éliminatoire ou de note de plancher
- Le système actuel de compensation et de mentions est maintenu
- L'oral de rattrapage est maintenu en tant que seconde chance
Les épreuves finales : 60% de la note finale
Comme aujourd'hui, chaque lycéen présentera une épreuve anticipée écrite et orale de français en fin de première. En classe de terminale, il présentera quatre épreuves finales :
- Deux épreuves écrites porteront sur les enseignements de spécialité choisis par le candidat.
- Une épreuve écrite de philosophie : pour tous, ce choix correspond à une tradition française et à la nécessité de conforter l'esprit critique dans la formation des jeunes générations.
- Un oral d'une durée de 20 minutes préparé tout au long du cycle terminal : savoir s'exprimer dans un français correct est essentiel pour les études, pour la vie personnelle et professionnelle. Parce que l'aisance à l'oral constitue un marqueur social, il convient justement d'offrir à tous les élèves l'acquisition de cette compétence. L'épreuve orale repose sur la présentation d'un projet préparé dès la classe de première par l'élève.
Cet oral se déroulera en deux parties : la présentation du projet, adossé à un ou deux enseignements de spécialité choisis par l'élève et un échange à partir de ce projet permettant d'évaluer la capacité de l'élève à analyser en mobilisant les connaissances acquises au cours de sa scolarité, notamment scientifiques et historiques. Le jury sera composé de deux professeurs.
Le calendrier des épreuves finales
Les épreuves de spécialités seront passées au retour des vacances de printemps.
Les épreuves de français en première, de philosophie en terminale, et l'oral auront lieu à la fin du mois de juin afin que toute l'année scolaire soit mise à profit.
Le contrôle continu : 40% de la note finale
Le contrôle continu reposera sur des épreuves communes organisées au cours des années de première et de terminale.
À titre indicatif, ces épreuves communes pourront avoir lieu en janvier et avril de l'année de première, puis en décembre de l'année de terminale. L'organisation relèvera des établissements.
Pour garantir l'égalité entre les candidats et les établissements scolaires, une "banque nationale numérique de sujets" sera mise en place, les copies anonymes seront corrigées par d'autres professeurs que ceux de l'élève. Une harmonisation sera assurée.
Les bulletins scolaires seront pris en compte pour une part limitée (10%) de la note finale afin de valoriser la régularité du travail de l'élève.
L'évalutation des langues et l'ouverture européenne et internationale
Chaque élève étudiera deux langues vivantes comme aujourd'hui. L'écrit sera évalué selon les standards européens dans le cadre des épreuves communes. L'oral sera apprécié d'après les mêmes standards, à partir de février de l'année de terminale, selon les dispositions actuelles.
Parallèlement, la logique de certification a vocation à se développer, en direction d'abord des élèves qui suivent des cursus à dimension internationale (sections internationales, sections européennes, etc.) ou qui choisissent la spécialité Langues, littératures et cultures étrangères.
Les enseignements en langues étrangères (disciplines non linguistiques) seront développés comme la mobilité des élèves.
Pourquoi réformer le baccalauréat ?
Une transformation nécessaire du baccalauréat
L'examen ne prépare pas assez efficacement aux études supérieures auxquelles il donne pourtant accès.
L'organisation actuelle de l'examen repose sur des épreuves finales beaucoup plus nombreuses que chez nos voisins européens.
La concentration d'un grand nombre d'épreuves dans un temps très court n'est pas satisfaisante : elle ne récompense pas les efforts réalisés par les candidats dans la durée et pose des difficultés organisationnelles.
Si le baccalauréat est une clé d'entrée dans l'enseignement supérieur, il est loin d'être un tremplin vers la réussite. Le taux de réussite au baccalauréat général et technologique (environ 90 %) ne doit pas masquer une autre réalité : 61% des étudiants ne parviennent pas au terme des études dans lesquelles ils se sont initialement engagés.
Remuscler le baccalauréat général et technologique
Le baccalauréat est un symbole républicain et un repère pour les élèves. Il est devenu complexe dans son organisation et ne joue plus pleinement son rôle de tremplin vers l'enseignement supérieur.
Il est donc nécessaire de le repositionner en le modernisant :
- Simplifier un examen devenu trop complexe
- En faire un véritable tremplin vers la réussite dans l'enseignement supérieur
- Mieux prendre en compte le travail des lycéens et les accompagner dans la construction de leurs projets
Le dossier de presse "Baccalauréat 2021"
Une transformation nécessaire du baccalauréat
[infographie] Le baccalauréat aujourd'hui
La méthode
[infographie] Le calendrier de la réforme
[infographie] Pourquoi remuscler le baccalauréat général et technologique ?
Faire du baccalauréat un tremplin pour la réussite
[infographie] Les épreuves du baccalauréat 2021
[infographie] La voie générale - première et terminale
[infographie] La voie technologique - première et terminale
Un lycée pour comprendre et agir au XXIe siècle
[infographie] Le parcours de Léa, future bachelière 2021

Bac 2021 : les options et enseignements de spécialité dans les établissements de l'académie ...

Le nouveau baccalauréat 2021 redonne au baccalauréat son sens et son utilité avec un examen remusclé et un lycée plus simple, plus à l'écoute des aspirations des lycéens, pour leur donner les moyens de se projeter vers la réussite dans l'enseignement supérieur. Retrouvez toute l'information sur le nouveau lycée et baccalauréat.
Liste des enseignements de spécialités proposés dans les lycées de l’académie de Dijon
La réforme du baccalauréat est le fruit d’une large consultation .
La liste des enseignements de spécialité et des options sera présentée aux représentants des personnels lors du Conseil technique académique (CTA) du 20 décembre 2018.
Elle présente pour chaque lycée général et technologique de chacun des XX réseaux écoles/collèges/lycées de l’académie :
- les options de 2nde ;
- les enseignements de spécialité du cycle terminal (classe de 1ère et de Terminale);
- les enseignements optionnels de 1ère et Terminale.
Découvrez les enseignements de spécialité qui vous sont proposés dès maintenant dans les lycées de votre académie pour la classe de première de la voie générale à la rentrée 2019 :
Téléchargez la liste :
Listes en PDF à venir (publiable vendredi 21/12)
Les réseaux de l’académie de Dijon

Tout ce qu'il faut savoir pour aborder le baccalauréat général et technologique en toute confiance
- Calendrier de la seconde 2018-2019
- Calendrier de la première 2019-2020
- Calendrier de la terminale 2020-2021
- Les parcours de lycéens
- Les enseignements communs, les spécialités et les séries en première et terminale
- Les épreuves du nouveau baccalauréat
Retrouvez toutes les infographies sur le baccalauréat 2021
Toutes les vidéos sur les nouveautés du lycée et du baccalauréat
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Baccalauréat 2021 : quelles nouveautés ?
Faire du baccalauréat un tremplin pour la réussite
Le baccalauréat 2021 reposera pour une part sur un contrôle continu et pour une autre part sur des épreuves terminales.
L'épreuve anticipée écrite et orale de français se déroulera comme aujourd'hui en fin de première.
En terminale, deux épreuves écrites portant sur les enseignements de spécialité auront lieu au printemps et deux épreuves se dérouleront en juin : l'écrit de philosophie et l'oral préparé au long des années de première et terminale (cycle terminal).
Le contrôle continu sera composé d'épreuves communes organisées pendant le cycle terminal.
4 principes inchangés
- Le bac est obtenu à partir d'une moyenne générale de 10/20
- Il n'existe pas de note éliminatoire ou de note de plancher
- Le système actuel de compensation et de mentions est maintenu
- L'oral de rattrapage est maintenu en tant que seconde chance
Les épreuves finales : 60% de la note finale
Comme aujourd'hui, chaque lycéen présentera une épreuve anticipée écrite et orale de français en fin de première. En classe de terminale, il présentera quatre épreuves finales :
- Deux épreuves écrites porteront sur les enseignements de spécialité choisis par le candidat.
- Une épreuve écrite de philosophie : pour tous, ce choix correspond à une tradition française et à la nécessité de conforter l'esprit critique dans la formation des jeunes générations.
- Un oral d'une durée de 20 minutes préparé tout au long du cycle terminal : savoir s'exprimer dans un français correct est essentiel pour les études, pour la vie personnelle et professionnelle. Parce que l'aisance à l'oral constitue un marqueur social, il convient justement d'offrir à tous les élèves l'acquisition de cette compétence. L'épreuve orale repose sur la présentation d'un projet préparé dès la classe de première par l'élève.
Cet oral se déroulera en deux parties : la présentation du projet, adossé à un ou deux enseignements de spécialité choisis par l'élève et un échange à partir de ce projet permettant d'évaluer la capacité de l'élève à analyser en mobilisant les connaissances acquises au cours de sa scolarité, notamment scientifiques et historiques. Le jury sera composé de deux professeurs.
Le calendrier des épreuves finales
Les épreuves de spécialités seront passées au retour des vacances de printemps.
Les épreuves de français en première, de philosophie en terminale, et l'oral auront lieu à la fin du mois de juin afin que toute l'année scolaire soit mise à profit.
Le contrôle continu : 40% de la note finale
Le contrôle continu reposera sur des épreuves communes organisées au cours des années de première et de terminale.
À titre indicatif, ces épreuves communes pourront avoir lieu en janvier et avril de l'année de première, puis en décembre de l'année de terminale. L'organisation relèvera des établissements.
Pour garantir l'égalité entre les candidats et les établissements scolaires, une "banque nationale numérique de sujets" sera mise en place, les copies anonymes seront corrigées par d'autres professeurs que ceux de l'élève. Une harmonisation sera assurée.
Les bulletins scolaires seront pris en compte pour une part limitée (10%) de la note finale afin de valoriser la régularité du travail de l'élève.
L'évalutation des langues et l'ouverture européenne et internationale
Chaque élève étudiera deux langues vivantes comme aujourd'hui. L'écrit sera évalué selon les standards européens dans le cadre des épreuves communes. L'oral sera apprécié d'après les mêmes standards, à partir de février de l'année de terminale, selon les dispositions actuelles.
Parallèlement, la logique de certification a vocation à se développer, en direction d'abord des élèves qui suivent des cursus à dimension internationale (sections internationales, sections européennes, etc.) ou qui choisissent la spécialité Langues, littératures et cultures étrangères.
Les enseignements en langues étrangères (disciplines non linguistiques) seront développés comme la mobilité des élèves.
Pourquoi réformer le baccalauréat ?
Une transformation nécessaire du baccalauréat
L'examen ne prépare pas assez efficacement aux études supérieures auxquelles il donne pourtant accès.
L'organisation actuelle de l'examen repose sur des épreuves finales beaucoup plus nombreuses que chez nos voisins européens.
La concentration d'un grand nombre d'épreuves dans un temps très court n'est pas satisfaisante : elle ne récompense pas les efforts réalisés par les candidats dans la durée et pose des difficultés organisationnelles.
Si le baccalauréat est une clé d'entrée dans l'enseignement supérieur, il est loin d'être un tremplin vers la réussite. Le taux de réussite au baccalauréat général et technologique (environ 90 %) ne doit pas masquer une autre réalité : 61% des étudiants ne parviennent pas au terme des études dans lesquelles ils se sont initialement engagés.
Remuscler le baccalauréat général et technologique
Le baccalauréat est un symbole républicain et un repère pour les élèves. Il est devenu complexe dans son organisation et ne joue plus pleinement son rôle de tremplin vers l'enseignement supérieur.
Il est donc nécessaire de le repositionner en le modernisant :
- Simplifier un examen devenu trop complexe
- En faire un véritable tremplin vers la réussite dans l'enseignement supérieur
- Mieux prendre en compte le travail des lycéens et les accompagner dans la construction de leurs projets
Le dossier de presse "Baccalauréat 2021"
Une transformation nécessaire du baccalauréat
[infographie] Le baccalauréat aujourd'hui
La méthode
[infographie] Le calendrier de la réforme
[infographie] Pourquoi remuscler le baccalauréat général et technologique ?
Faire du baccalauréat un tremplin pour la réussite
[infographie] Les épreuves du baccalauréat 2021
[infographie] La voie générale - première et terminale
[infographie] La voie technologique - première et terminale
Un lycée pour comprendre et agir au XXIe siècle
[infographie] Le parcours de Léa, future bachelière 2021

Vigipirate : "Sécurité renforcée - risque attentat"

Suite à la neutralisation de l'auteur de l'attaque de Strasbourg, le Premier ministre a acté vendredi soir le retour du niveau VIGIPIRATE « Sécurité renforcée – risque attentat » sur l’ensemble du territoire. Relevant du Premier ministre, le plan VIGIPIRATE est un outil central du dispositif français de lutte contre le terrorisme.

Un partenariat entre la MAIF et le rectorat pour former au secourisme

Le rectorat de l’académie de Dijon s’est vu remettre par la MAIF des packs « Mini-Anne » destinés à favoriser la formation des collégiens au secourisme et plus particulièrement à la réanimation cardio-pulmonaire.
Obligatoire à l’école, la formation aux premiers secours et la sensibilisation aux gestes qui sauvent visent à donner aux élèves les moyens d’être des acteurs à part entière de la sécurité au quotidien. Cette formation leur permet d’être sensibilisés et formés à la nécessité d’intervenir, vite avec des gestes précis. Elle s’inscrit dans la formation du citoyen en éduquant au sens des responsabilités individuelles et collectives.
Partenaire, depuis 2011, du ministère de l’éducation nationale pour faciliter l’accès des élèves aux formations PSC1 (prévention et secours civiques de niveau 1) au collège, la MAIF entend contribuer à cette formation et l’amplifier. C’est ainsi que M. Sebillon, mandataire du conseil d’administration de la MAIF a eu le plaisir de remettre trois packs « Mini-Anne ».
Chacun de ces packs est composé de 10 défibrillateurs factices et de 10 mannequins réutilisables permettant l’apprentissage de l’alerte, du massage cardiaque, des insufflations et le maniement du défibrillateur.
Cette remise a eu lieu au sein de la cité scolaire Montchapet de Dijon en présence notamment de M. Dorge, directeur de cabinet de la rectrice de l’académie de Dijon, M. Morat, proviseur de la cité scolaire Montchapet et Mme Kniebihler, chargée académique du dossier secourisme, coordinatrice de l’équipe pédagogique nationale.
En savoir plus : http://www.education.gouv.fr/cid115553/formation-aux-premiers-secours.html&xtmc=gestesdepremierssecours&xtnp=1&xtcr=1

Message de fin d'année 2018 de la rectrice Frédérique Alexandre-Bailly
L'académie de Dijon vous souhaite une très belle et heureuse année 2019

À toutes et tous, enseignants, corps d'inspection, personnels éducatifs, de direction, personnels administratifs, élèves et étudiants, ainsi que parents d'élèves, Frédérique Alexandre-Bailly, rectrice de l'académie de Dijon, présente ses meilleurs vœux de bonheur et de réussite.

Mon stage de 3ème
La plateforme « mon stage de 3e» met à la disposition de tous les élèves de 3e les informations et les conseils nécessaires. Il offre les ressources pour que ce premier contact des jeunes avec le monde du travail soit une expérience intergénérationnelle empreinte de confiance et enrichissante pour chacun. Les élèves scolarisés dans les collèges REP+ qui manquent de réseau accèderont directement à la bourse de stages.
La semaine olympique et paralympique

Suite à la désignation de Paris comme ville hôte des Jeux en 2024, le ministère chargé de l'Éducation nationale organise chaque année la semaine Olympique et Paralympique, en partenariat avec le ministère chargé des Sports et le mouvement sportif français. En 2019, elle a lieu du 4 au 9 février.
Objectifs
Dans le prolongement de la Journée nationale du sport scolaire d'une part et en amont de la Journée olympique, la semaine olympique et paralympique est un moment clé pour éveiller les élèves aux bienfaits de la pratique sportive régulière et d'appréhender les valeurs citoyennes et sportives. Elle participe également à mobiliser les parents autour de cet enjeu.
- d'utiliser le sport comme outil pédagogique dans les enseignements (sport et mathématiques par exemple)
- de sensibiliser aux valeurs de l'Olympisme en mobilisant les outils éducatifs et ludiques mis à disposition
- de faire découvrir les disciplines olympiques et paralympiques aux élèves, en collaboration avec le mouvement sportif, organisation d'ateliers de pratique sportive
- de faire changer le regard des plus jeunes sur le handicap en s'appuyant sur la découverte des para sports et en intégrant des rencontres sportives partagées
- d'éveiller les jeunes à l'engagement bénévole
Qui peut participer et comment inscrire un projet ?
Peuvent s'inscrire les :
- écoles et les établissements scolaires de métropole et des outre-mer
- établissements français de l'étranger
- établissements d'enseignement supérieur
Toutes les démarches pourront être liées à des opérations d'ampleur nationale existantes (rencontres et compétitions nationales ou internationales organisées par l'Usep, l'UNSS, l'UGSEL et la FFSU) ou à des initiatives strictement locales (projets à l'échelle d'une classe, d'un établissement ou d'un réseau d'établissements, à l'initiative d'un Suaps, d'une grande école ou d'une association étudiante etc.).
L'ensemble des démarches menées fera l'objet d'un recensement au niveau national afin de valoriser dans une programmation annuelle les actions liées au sport et à sa dimension éducative en milieu scolaire et dans l'enseignement supérieur.
Inscrire son projet pour la semaine olympique et paralympique
La carte des actions menées dans les écoles et établissements scolaires
Les ressources pédagogiques
Des ressources variées pour organiser des actions lors cette semaine olympique et paralympique, notamment celles du Réseau Canopé et du Comité national olympique français, sont disponibles sur le site éduscol.

La Nuit de la lecture

La Nuit de la lecture promeut le livre et la lecture auprès de tous les publics. Sa 3e édition est organisée le samedi 19 janvier 2019 dans les bibliothèques et librairies et s'accompagne d'un jeu en ligne sur le thème "Tous lecteurs !". Des milliers d'événements, partout en France mais aussi à l'étranger, invitent à tous les types de lectures, sur tous les supports et au développement d'une expérience numérique. Le ministère de l'Éducation nationale et de la Jeunesse est partenaire de cet événement initié par le ministère de la Culture.
La maîtrise des savoirs fondamentaux (lire, écrire, compter, respecter autrui) par tous les écoliers est une priorité. Parmi eux, la lecture occupe une place essentielle car elle est nécessaire à l'acquisition de tous les autres savoirs. L'acquisition et le développement du goût et de l'intérêt pour la lecture font partie des grandes missions de l'école.
Une journée dédiée à la lecture sous toutes ses formes
Les bibliothèques et librairies de France ouvrent à nouveau leurs portes le samedi 19 janvier 2019 pour une troisième édition de la Nuit de la lecture.
Cette manifestation autour de la lecture et du plaisir de lire invite les Français toute la journée et toute la soirée, à venir découvrir de nombreux événements et activités :
- lectures musicales
- spectacles de théâtre
- lectures en pyjama, sous la couette ou à la lampe de poche
- expositions
- projections de films
- jeux autour du livre et de la lecture (enquête, chasse au trésor, jeu d'évasion, etc.)
- ateliers d'écriture ou de découvertes livresques
- conférences
- dégustations littéraires
- rencontres avec des écrivains
Découvrir le programme des événements
Un événement qui renforce les liens entre le milieu éducatif et le monde du livre et de la lecture
La Nuit de la lecture est une nouvelle occasion de conforter les liens entre les différents acteurs du livre et de la lecture :
- bibliothèques
- libraires
- auteurs
- éditeurs
- associations
- écoles et établissements scolaires
Ainsi, des programmations croisées entre bibliothèques et librairies permettent aux visiteurs de circuler des unes aux autres et de découvrir leurs collections d'ouvrages, physiques et numériques.
La Nuit de la lecture :
- met en valeur les politiques d'ouverture au public des bibliothèques sur des horaires étendus, le soir mais aussi le dimanche.
- permet de renforcer les liens et les collaborations entre le milieu éducatif et le monde de la bibliothèque et de la librairie. Des centres de documentation et d'information d'établissements scolaires et des bibliothèques universitaires se mobilisent. Les écoles et les établissements scolaires sont encouragés à organiser avec leurs partenaires des manifestations autour du partage du livre et de la lecture dès le vendredi 18 janvier, à la transition entre le temps scolaire et le week-end.
Les classes à horaires aménagés théâtre et les classes théâtre des lycées sont invitées à prendre part à la Nuit de la lecture en assurant des prestations dans les bibliothèques et les librairies participant à la manifestation.
Enfin, des finales locales et des lectures d'entraînement du concours de lecture à voix haute "Les petits champions de la lecture", destiné aux élèves de CM2, sont proposées à l'occasion de la 3e Nuit de la lecture.
Dès 13 ans, jouez avec la Nuit de la lecture : tous lecteurs !
Un jeu est organisé du 11 au 20 janvier 2019, à partir des sites Internet et pages Facebook de la Nuit de la lecture, de Gallica, de la Bibliothèque nationale de France et des partenaires institutionnels et des médias qui le souhaitent. Ce jeu propose une approche originale de la littérature. Son objectif est de sensibiliser et de séduire une population qui peut paraître éloignée de l'univers des bibliothèques et des librairies.
Le joueur, âgé de 13 ans au moins, entame une conversation avec le robot de la Nuit de la lecture en répondant à quatre questions courtes qui permettent d'identifier son profil. Par exemple : "Préférez-vous avoir les pieds sur terre ou la tête dans les étoiles ?". À chaque profil correspond un ouvrage classique proposé gratuitement au joueur en version numérique.

Journée académique de l'innovation du 16 janvier 2019
Horizons2021.fr : l'outil interactif qui aide les élèves de 2nde à choisir leurs ...

Créé par l’Onisep, cet outil permet aux lycéens qui envisagent la voie générale de préciser leurs choix d’enseignements de spécialité.
En fin de 2de, les élèves devront choisir trois enseignements de spécialité en fonction de leurs centres d’intérêt.
Le site Horizons2021 www.horizons2021.fr propose un descriptif de chaque enseignement de spécialité, de ses contenus et de ses objectifs.
La combinaison de ces enseignements de spécialité ouvre l’accès à des « horizons » :
- arts et industries culturelles ;
- lettres, langues et communication ;
- sciences humaines et sociales;
- sciences économiques et de gestion ;
- droit et sciences politiques ;
- sciences du vivant et géosciences ;
- santé ;
- sciences, technologie, ingénierie et mathématiques ;
- sciences informatiques et industries du numérique.
L’application précise les contours de ces « horizons » et identifie, pour chacun d’entre eux, des univers de formations et de métiers à travers quelques exemples.
Les élèves sont invités à tester les combinaisons d’enseignements de spécialité pour prendre connaissance de toutes les possibilités qui s’offrent à eux.

Colloque Ersamus+ « ISSKO » à Dijon : « Les plus grandes frontières sont dans les têtes »

Ces 15 et 16 janvier, la Maison régionale de l’innovation de Dijon accueille le colloque Erasmus+ ISSKO (Influence of Social Skills On student orientation). Un colloque qui termine - sans en être le point final – un projet qui a mobilisé durant 30 mois une trentaine d’élèves et une vingtaine d’enseignants venus de Finlande, de Pologne et de France (Brochon).
A l’heure de l’ouverture officielle, mardi, Frédérique Alexandre-Bailly, rectrice de l’académie de Dijon, chancelière des universités, a salué ce « programme ambitieux », cette « aventure extraordinaire ».
« Ouvrir nos horizons est capital » a poursuivi la rectrice, pour qui « les plus grandes frontières sont dans les têtes. » Il s’agit dès lors « d’ouvrir le plus de possibles pour ne pas s’interdire. » L’occasion de rappeler, s’agissant de l’ouverture à l’international, que l’académie de Dijon s’est fixée pour objectif de permettre à chaque jeune d’avoir au moins une rencontre à l’internationale.
Comment permettre désormais au plus grand nombre au sein d’un établissement, d’une académie, voire au national, de bénéficier d’une telle « aventure » ; comment favoriser la mobilité sociale et internationale et offrir une meilleure orientation post-bac ; quelle place pour les compétences sociales ? Au-delà de dresser le bilan - assurément positif du projet ISSEKO – c’est tout l’enjeu de ces deux jours.
Alors qu’il est revenu à Jean-François Chanet, recteur de la région académique Bourgogne Franche-Comté, recteur de l’académie de Besançon, de conclure cette première journée, on relèvera également l’intervention, en visio-conférence, de Sophie Béjean, rectrice de l’académie de Strasbourg, présidente du StraNES (stratégie nationale de l’enseignement supérieur). StraNES qui fut, dira Dominique Lanternier, proviseur du lycée Stephen-Liégard de Brochon, « déclencheur et fil conducteur » de ce projet ISSKO.
En savoir plus : http://lyc21-liegeard.ac-dijon.fr/erasmus.html

Le grand débat national
Une Journée académique de l'innovation riche d'enseignements et d'échanges
Quelque 200 personnes, au premier rang desquels des enseignants - « vous êtes la raison d’être de ce rendez-vous » dira la rectrice de l’académie de Dijon, Frédérique Alexandre-Bailly – étaient présentes à la Journée académique de l’innovation qui s’est tenue mercredi 16 janvier au sein de l’université de Bourgogne à Dijon.
Deux cents personnes qui ont participé à des ateliers et parcouru des stands dédiés aux innovations, afin de les mettre en lumière, de fournir un certain nombre d’apports théoriques et de partager, au bénéfice des élèves.
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Deux temps forts ont ponctué le rendez-vous : une conférence de Franck Ramus, chercheur, directeur de recherche (CNRS), professeur attaché à l’ENS, membre du conseil scientifique de l’Education nationale sur le thème de « L’éducation fondée sur des preuves », l’autre temps fort animé par François Taddeï, directeur du centre de recherche interdisciplinaires, à qui il est revenu de conclure cette journée.
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« Un rendez-vous riche en apports et en échanges », se sont félicités de concert Frédérique Alexandre Bailly et Jean-François Chanet, recteur de la région académique Bourgogne-Franche Comté, recteur de l’académie de Besançon.
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Colloque Erasmus+ « ISSKO » à Dijon : « Les plus grandes frontières sont dans les têtes »

Les 15 et 16 janvier, la Maison régionale de l’innovation de Dijon a accueilli le colloque Erasmus+ ISSKO (Influence of Social Skills On student orientation). Un colloque qui termine - sans en être le point final – un projet qui a mobilisé durant 30 mois une trentaine d’élèves et une vingtaine d’enseignants venus de Finlande, de Pologne et de France (Brochon).
A l’heure de l’ouverture officielle, mardi, Frédérique Alexandre-Bailly, rectrice de l’académie de Dijon, chancelière des universités, a salué ce « programme ambitieux », cette « aventure extraordinaire ».
« Ouvrir nos horizons est capital » a poursuivi la rectrice, pour qui « les plus grandes frontières sont dans les têtes. » Il s’agit dès lors « d’ouvrir le plus de possibles pour ne pas s’interdire. » L’occasion de rappeler, s’agissant de l’ouverture à l’international, que l’académie de Dijon s’est fixée pour objectif de permettre à chaque jeune d’avoir au moins une rencontre à l’internationale.
Comment permettre désormais au plus grand nombre au sein d’un établissement, d’une académie, voire au national, de bénéficier d’une telle « aventure » ; comment favoriser la mobilité sociale et internationale et offrir une meilleure orientation post-bac ; quelle place pour les compétences sociales ? Au-delà de dresser le bilan - assurément positif du projet ISSEKO – c’est tout l’enjeu de ces deux jours.
Alors qu’il est revenu à Jean-François Chanet, recteur de la région académique Bourgogne Franche-Comté, recteur de l’académie de Besançon, de conclure cette première journée, on relèvera également l’intervention, en visio-conférence, de Sophie Béjean, rectrice de l’académie de Strasbourg, présidente du StraNES (stratégie nationale de l’enseignement supérieur). StraNES qui fut, dira Dominique Lanternier, proviseur du lycée Stephen-Liégard de Brochon, « déclencheur et fil conducteur » de ce projet ISSKO.
En savoir plus : http://lyc21-liegeard.ac-dijon.fr/erasmus.html

Pour un écosystème en cycle vertueux recherche/pratiques/formations/ressources : la Fabrique ...

La Fabrique des ateliers académiques (FAA) a été mise en place par le conseil scientifique de l’Education nationale et la conférence des recteurs afin de favoriser une relation d’échanges entre le monde de la recherche et les acteurs de l’éducation.
C’est dans cette dynamique que Jean-François Chanet, recteur de la région académique Bourgogne-Franche Comté, recteur de l’académie de Besançon et Frédérique Alexandre Bailly, rectrice de l’académie de Dijon, ont lancé, à l’occasion de la Journée de l’innovation du 16 janvier, la première fabrique des ateliers Bourgogne Franche-Comté.
La Fabrique des ateliers est l’occasion et le moyen de travailler à la mise en œuvre d’une dynamique où se croisent, en intelligence collective, les apports de la recherche et des pratiques, qu’elles soient éducatives, évaluatives, gestionnaires ou organisationnelles, au bénéfice de la formation et des ressources d’accompagnement pour tous les personnels concernés. Dans le cas présent il a été question des évaluations des CP et CE1, avec la participation notamment de Franck Ramus, membre du CSEN, docteurs en sciences cognitives et directeur de recherche au CNRS, des IA-DASEN et de leur adjoint du 1er degré, des doyens du 1er degré des académies de Dijon et Besançon ainsi que de trois inspecteurs généraux.
