Les indicateurs de résultats des lycées
Une carte interactive des formations pour aider les candidats à faire leurs choix sur Parcoursup
Demande de bourse de lycée 2019 en ligne

Au lycée, votre enfant peut bénéficier de plusieurs aides financières : l'allocation de rentrée scolaire, les bourses de lycée, les bourses au mérite, le fonds social lycéen, le fonds social pour les cantines, etc. Le secrétariat de l'établissement fréquenté par votre enfant est votre principal interlocuteur.
La demande de bourse de lycée se fait en ligne. Les parents ou responsables d’élèves doivent se connecter au portail Scolarité–Service du 28 mars au 4 juillet 2019.
L'allocation de rentrée scolaire
Pour la rentrée 2018, le montant de l'allocation de rentrée scolaire est de 401,47 € par enfant de 15 à 18 ans.
Vos ressources de l’année 2016 ne doivent pas dépasser :
- 24 453 € pour un enfant,
- 30 096 € pour deux enfants,
- 35 739 € pour trois enfants,
- 5 643 € par enfant supplémentaire.
L'allocation de rentrée scolaire est versée directement par les caisses d'allocations familiales (CAF) ou la Mutualité sociale agricole (MSA).
Consulter le dossier sur l'allocation de rentrée scolaire 2018, sur le site de la CAF ou de la MSA.
Les bourses de lycée
Les bourses de lycée sont attribuées aux élèves scolarisés en lycée et en établissements régionaux d'enseignement adapté (EREA).
Elles se déclinent en 6 échelons, en fonction des ressources de la ou des personnes assumant la charge de l’élève et du nombre d’enfants à charge. Pour l'année 2019-2020, le montant annuel de la bourse varie entre 438 euros pour le premier échelon et 930 euros pour le sixième échelon. Ce montant de bourse est versé en trois fois (à chaque trimestre).
Demande de bourse de lycée pour l'année scolaire 2019-2020
Pour les élèves scolarisés en classe de 3ème dans un collège public et les élèves non boursiers scolarisés en lycée public :
La demande de bourse de lycée se fait en ligne. Les parents ou responsables d’élèves doivent se connecter au portail Scolarité–Service du 28 mars au 4 juillet 2019.
En tant que parent d’élèves vous pourrez ainsi :
- faire une demande pour chacun de vos enfants scolarisés en collège ou lycée public.
- récupérer directement vos données fiscales nécessaires à l’instruction de la demande sans joindre de pièces justificatives
- connaître une estimation de la bourse à la fin de la saisie.
- Se connecter avec FranceConnect : le bouton qui permet d'accéder aux services en ligne de l'Éducation nationale et d'autres services publics en utilisant votre compte impots.gouv.fr, ou ameli.fr ou identité numérique (laposte), ou mobileconnectetmoi (orange), ou msa.fr. Plus simple et plus fiable pour votre demande de bourse, vos informations fiscales sont plus précises, directement transmises à l’établissement scolaire, et vous n'avez aucune information complémentaire à fournir.
- Se connecter avec votre compte Éducation nationale (ATEN) fourni par l’établissement scolaire de l’élève
Faire sa demande de bourse avec FranceConnect
Faire sa demande de bourse avec son compte Éducation nationale (ATEN)
Rappel : utilisez le document fourni par courrier ou voie électronique par l'établissement, qui comprend les informations nécessaires à votre connexion (adresse Internet du portail Scolarité-Services, compte Éducation nationale).
Durant la campagne annuelle de bourse de lycée, et conformément à la loi ESSOC n°2018-727 du 10 août 2018, en cas d’erreur commise lors de votre demande de bourse, vous avez la possibilité de régulariser votre erreur de votre propre initiative ou dans le délai requis après y avoir été invité par l’administration concernée.
Par exemple :
- Vous avez oublié de mentionner un changement de situation (nombre d’enfants à charge, situation de concubinage etc.) ?
- Vous avez désormais droit à l’erreur, dans les délais prescrits par l’administration.
- Vous pouvez vous rapprocher de l’établissement de votre enfant pour signaler l’erreur et régulariser votre situation.
En cas d’erreur dans vos déclarations auprès des services de la CAF ou des services fiscaux, rapprochez-vous de ces organismes afin de régulariser votre situation et transmettre en complément de votre demande de bourse de nouveaux justificatifs.
Attention : Le droit à l’erreur n’est pas un droit au retard : les retards ou omissions de déclaration dans les délais prescrits n’entrent pas dans son champ d’application.
Pour les élèves scolarisés dans les établissements privés sous contrat ou au CNED :
Pour les élèves scolarisés dans les établissements privés sous contrat ou habilités à recevoir des boursiers nationaux, ainsi que pour le CNED, la demande de bourse de lycée s’effectuera à l’aide du formulaire qui sera mis en ligne à partir du 28 mars 2019.
Ce formulaire accompagné des pièces justificatives demandées doit être remis, dûment complété, à l’établissement où votre enfant est scolarisé selon les indications qui vous seront communiquées par l’établissement.
Ce formulaire de demande de bourse ne concerne que les demandes de bourse pour des élèves du second degré de lycée. Les élèves des classes post-bac (CPGE et BTS) doivent formuler des demandes de bourses étudiantes (CROUS).
Simulateur de bourse au lycée pour l'année scolaire 2019-2020
Accès au simulateur de bourse au lycée
Le simulateur de bourse au lycée permet de savoir si votre foyer peut bénéficier d'une bourse scolaire à la rentrée 2019. Il vous permet d'obtenir une estimation personnalisée de son montant pour chaque enfant scolarisé au lycée.
Les montants et barèmes utilisés sont ceux prévus pour la rentrée 2019. En cas de concubinage, vous devez saisir la somme des revenus des deux concubins.
Barème et montant de bourse pour l'année scolaire 2019-2020
Calendrier et formulaires pour l'année scolaire 2019-2020
La campagne des demandes de bourse de lycée pour l’année scolaire 2019-2020 est ouverte à compter du jeudi 28 mars 2019 et se terminera le jeudi 4 juillet 2019.
Cette campagne de bourse concerne tous les collégiens de 3e qui accéderont au lycée à la rentrée 2019, ainsi que les lycéens non boursiers en 2018-2019 qui poursuivront leur scolarité dans des études du second degré au lycée à la rentrée 2019.
Vous pouvez formuler la demande de bourse en ligne si votre enfant est scolarisé dans un collège ou un lycée public en 2018-2019, quel que soit le lycée (public ou privé) qui l'accueillera à la rentrée 2019.
Le formulaire papier sera mis en ligne à partir du 28 mars.
Des primes complémentaires à la bourse sont allouées selon la scolarité du boursier
Prime d'équipement
D'un montant de 341,71 euros, elle est versée en une seule fois avec le premier trimestre de la bourse aux élèves de première année de certaines spécialités de CAP, de bac professionnel, de bac technologique ou de brevet de technicien. Cette prime est attribuée automatiquement en fonction de la spécialité de formation.
Prime à l'internat
Cette prime est accordée à tous les élèves boursiers nationaux scolarisés en internat.
La prime à l'internat d'un montant forfaitaire annuel de 258 euros est strictement liée au statut d'élève boursier.
Les familles n'ont pas de demande à remplir, cette prime est attribuée automatiquement aux élèves boursiers internes. Elle est soumise aux mêmes règles de gestion que les bourses. La prime est versée en trois fois par déduction sur la facture des frais de pension.
La bourse pour les 16-18 ans qui reprennent leurs études
Les jeunes de 16 à 18 ans qui ont abandonné leur formation et reprennent des études à finalité professionnelle peuvent bénéficier d'une prime de reprise d'études, complément de la bourse de lycée.
Cette prime peut être attribuée aux jeunes qui :
- reprennent leurs études après une interruption de scolarité d'au moins cinq mois
- ont droit à une bourse nationale de lycée au moment de leur reprise d'études
Cette prime, d'un montant de 600 euros, s'ajoute à la bourse de lycée. Au total, le montant annuel versé est au moins de 1000 euros par an.
Elle est versée en trois fois, en même temps que la bourse.
Une démarche en trois temps
1 - S'inscrire dans un lycée pour reprendre une formation
2 - Se renseigner sur le droit à bourse auprès du secrétariat de l'établissement d'accueil
3 - Faire sa demande de bourse: une fiche renseignée par l'établissement d'accueil complètera la demande de bourse.
La bourse au mérite
C'est un dispositif destiné à compléter l'attribution d'une bourse de lycée. Les élèves boursiers ayant obtenu une mention Bien ou Très bien au diplôme national du brevet se voient attribuer automatiquement la bourse au mérite.
Ce complément est versé pendant toute la scolarité jusqu'à la fin du cycle conduisant au baccalauréat afin de les aider dans la poursuite de leurs études.
Le montant annuel de la bourse au mérite, complément de la bourse de lycée, varie en fonction de l’échelon de la bourse, de 402 euros (1er échelon) à 1 002 euros (6e échelon). La bourse au mérite est versée en trois fois en même temps que la bourse de lycée.
Les fonds sociaux
Le fonds social lycéen
Dans les lycées publics, un fonds social lycéen permet d'apporter une aide exceptionnelle à un élève pour faire face à des dépenses de vie scolaire et de scolarité. Ces aides sont accordées par les chefs d'établissement, après avis de la commission présidée par lui et constituée par des membres de la communauté éducative, des délégués d'élèves et de parents d'élèves.
Le fonds social pour les cantines
Ce fonds doit permettre aux élèves (collégiens, lycéens et élèves de l'enseignement spécialisé du second degré), issus de milieux défavorisés, de fréquenter la cantine de leur établissement.
Le chef d'établissement prend au cours de l'année scolaire l'avis du conseil d'administration sur les critères et les modalités à retenir pour l'attribution de l'aide qui sera déduite du montant de la demi-pension.
Tous renseignements utiles, tant en matière de bourses que de fonds sociaux, seront fournis par le secrétariat de l'établissement fréquenté par l'élève.

JACES 2019 : L'enseignement supérieur fête l'art et la culture

Concerts, spectacles, expositions, projections... Du 2 au 4 avril 2019, les établissements d’enseignement supérieur et les lieux de culture associés seront à la fête à l’occasion de la 6e édition des Journées Art et Culture dans l’Enseignement Supérieur (JACES).
Cette opération nationale, coordonnée par le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation avec le soutien du ministère de la Culture, a pour objectif de mieux faire connaître au grand public des lieux d’enseignement supérieur, comme des lieux de vie et de culture.
Les étudiants au cœur des JACES
Les JACES, c’est aussi mettre en lumière les réalisations culturelles et artistiques des étudiants et de leurs établissements d’enseignement supérieur. Qu’il soit artiste ou simplement curieux, chaque étudiant pourra s’investir parmi plus de 500 événements proposés dans le programme national consultable en ligne .
Dans un premier temps, ils peuvent s’investir en tant qu’étudiant artiste, dans les événements représentatifs du large éventail d’activités culturelles et artistiques proposées tout au long de l’année, par leurs établissements (universités, écoles ou centres régionaux des œuvres universitaires (CROUS)), souvent construits autour de thématiques d’actualité.
Dans un second temps, les étudiants pourront valoriser ces événements en tant qu’étudiant "live-reporter". Leur mission ? Participer aux manifestations labellisées #JACES2019, découvrir les coulisses et rencontrer les artistes afin de partager leur point de vue, leurs émotions, leurs réactions sur les réseaux sociaux. Trois prix récompenseront les publications les plus engagées et/ou artistiques : prix du public, prix de l’implication, prix de la créativité. Les inscriptions à ce jeu-concours se font sur ce site .
Le groupe Shake Shake Go en clôture
L’ambiance en clôture des JACES sera pop et folk ! Dans le cadre du festival "Les arts du campus", labellisé #JACES2019, l’Université de Lyon organise un concert du groupe franco-gallois "Shake Shake Go" au Transbordeur (Lyon), le jeudi 4 avril. Connu auprès du grand public en 2015 avec le titre English Skies, Shake Shake Go est de retour en 2018 avec Dinosaur. Pour accompagner le groupe, l’Université de Lyon et le Transbordeur invitent les groupes et les musiciens étudiants à se produire en première partie du concert en répondant à l’appel à projet avant le 10 mars.
Suivez l’actualité de cette édition des Journées Art & Culture dans l’Enseignement Supérieur sur les comptes Facebook, Twitter et Instagram @EtudiantGouv et le site.

Les bienfaits du sommeil expliqués aux écoliers par des étudiants en santé

Des actions de prévention au bénéfice de publics prioritaires : dans le cadre du service sanitaire, cinq étudiantes en santé de l’université de Bourgogne sont intervenues dans des classes de CM1-CM2 de l’école Les Grands crus à Chenôve. Au programme : les bienfaits du sommeil.
Frédérique-Alexandre Bailly, rectrice de l’académie de Dijon, chancelière de l’université et Olivier Obrecht, directeur général adjoint de l’agence régionale de santé (ARS) étaient à leurs côtés. Tous deux ont salué ce dispositif en soulignant notamment que « lorsque ce sont des étudiants qui parlent aux enfants, c’est souvent plus efficace ».
Créé à la rentrée 2018, le service sanitaire a pour vocation de former tous les futurs professionnels de santé aux enjeux de la prévention par la participation à la réalisation d’actions concrètes de prévention auprès de publics identifiés comme prioritaires. A cet égard les étudiants sont notamment amenés à intervenir dans des établissements scolaires.
En Côte-d’Or, 94 structures scolaires, dont 74 écoles ont ainsi accueilli depuis la mise en place de ce service sanitaire plus de 900 étudiants en santé. En lien avec les priorités de la politique régionale de santé, trois thématiques ont été retenues : nutrition et activité physique, conduites addictives, hygiène de vie.
A Chenôve, il était donc question des bienfaits du sommeil sur la vie quotidienne des enfants et leur attention en classe.

Le projet de loi pour une École de la confiance

La justice sociale, l'équité, l'innovation territoriale et l'élévation du niveau général sont au cœur du projet de loi pour une École de la confiance. Pourquoi cette loi ? Quelles questions pose-t-elle ? Tout comprendre sur le projet de loi pour une École de la confiance.
[Infographie interactive] Le projet de loi pour une École de la confiance : pour quoi ?
Télécharger l'infographie "le projet de loi pour une École de la confiance : pour quoi ?" (PDF)
[Infographie interactive] Le projet de loi pour une École de la confiance : points de clarification
Le ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse adresse une lettre aux professeurs pour partager le sens du projet de loi pour une École de la confiance. Le projet de loi a été adopté en première lecture à l’Assemblée nationale le 19 février.
Le ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse adresse une lettre aux directeurs d'école pour leur indiquer que l’école primaire est la priorité du Gouvernement tant sur le plan pédagogique que sur le plan budgétaire et pour partager le sens du projet de loi pour une École de la confiance. Le projet de loi a été adopté en première lecture à l’Assemblée nationale le 19 février.

Faites de la Science et C'Génial : comme leur nom l'indique !

Mercredi 10 avril la faculté des sciences Mirande à Dijon a accueilli la finale académique des concours C’Génial et Faites de la Science, deux concours visant à développer l’intérêt des jeunes pour les sciences et à promouvoir l’enseignement des sciences et techniques.
A cette occasion 17 équipes, représentant des établissements des quatre départements bourguignons, ont présenté, devant un jury composé de personnes issues de la recherche, de l’enseignement et de l’entreprise, le projet scientifique puridisciplinaire qu’ils ont élaboré après une année de recherches et d’expérimentations.
De la ruche connectée, présentée par les élèves du lycée des Métiers Vauban à Auxerre, à la « planète-santé » des collégiens de Jean-Mermoz à Chauffailles, en passant par des travaux sur la couleur des étoiles menés par des collégiens des Deux-Rivières de Moulins-Engilbert, ou encore « l’hybridation et sélection naturelle chez les chênes » des lycéens de Stephen-Liégeard à Brochon, le jury a eu fort à faire. Chacune des équipes présentes a en effet défendu avec beaucoup de convictions et d’enthousiasme son projet.
Au final, pour C’Genial, ce sont les travaux des élèves du collège Marie-Noël à Joigny portant sur la ‘’visualisation’’ des sons qui ont le plus retenu l’attention du jury.
Ils défendront les couleurs de l’académie lors de la finale nationale qui se tiendra le 25 mai prochain à Paris.
Le concours Faites de la Science a quant à lui couronné les lycéens du lycée d’enseignement général et technologique agricole de La Barotte à Châtillon-sur-Seine, pour leurs travaux sur « l’utilisation des huiles essentielles en agriculture : bonne ou mauvaise idée »?
Ils sont dès lors sélectionnés pour la finale nationale qui aura lieu le 14 juin à Lorient.
Pour se déterminer le jury avait notamment à évaluer l’originalité et l’intérêt sociétal du projet, mais aussi la démarche et la rigueur de ceux qui le présentaient. Partenariats et communication entraient également en ligne de compte.
« C’est très motivant » s’est félicité cette enseignante du collège Jean-Mermoz de Chauffailles pour qui cette première expérience « donne tout son sens aux enseignements pratiques interdisciplinaires » (EPI). Et d’expliquer : « nous sommes un petit collège, grâce à quoi tous les enseignants de 6e ont pu s’investir dans la démarche, du professeur de mathématiques bien sûr au professeur de français en passant par celui de musique ou d’histoire-géo. »
Inspecteur général de physique chimie Bruno Jeauffroy avait fait le déplacement depuis Paris pour saluer le travail et l’investissement des élèves et de leurs enseignants.
Le palmarès C’Génial
1e prix : collège Marie-Noël, Joigny 2 (89) : « Waves ».
2e prix : collège Le Parc, Dijon (21) : « Magie ou stroboscopie... »
3e prix : collège Le Chapitre, Chenôve (21) : « Wind venturi »
Prix coup de cœur : collège Jean-Mermoz, Chauffailles (71) : « Planète-santé ».
Le palmarès Faites de la Science
1er : LEGTA La Barotte, Châtillon-sur-Seine (21) : « Utilisation des huiles essentielles en agriculture : bonne ou mauvaise idée ? ».
2e : collège Marie-Noël 1, Joigny (89) : « Rainbow'Cristow ».
3e : collège Carnot, Dijon (21) : « Valorisation de déchets pour la valorisation de bio-plastiques ».
Les établissements participants
Collège Le Parc, Dijon.
Collège Malraux, Dijon.
Collège Le Chapitre, Chenôve.
Collège Carnot, Dijon.
Lycée Carnot, Dijon (2 équipes).
Lycée Stephen-Liégeard, Brochon.
EREA Alain-Fournier, Beaune (2 équipes).
LEGTA La Barotte, Châtillon-sur-Seine.
Collège Les Deux-Rivières, Moulins-Engilbert.
Lycée Romain-Rolland, Clamecy.
Collège Mallarmé, Sens.
Collège Marie-Noël, Joigny (2).
Lycée des Métiers Vauban, Auxerre.
Collège Jean-Mermoz, Chauffailles.

Parcoursup : découvrez les taux d'accès dans l'enseignement supérieur

Afin de promouvoir l’ambition d’ouverture sociale et la mobilité géographique définies par la loi n°2018-166 du 8 mars 2018 relative à l'orientation et à la réussite des étudiants, les taux de boursiers, de non-résidents, de "bacheliers professionnels" en STS et de "bacheliers technologiques" en IUT sont des leviers essentiels du pilotage de l’accès à l’enseignement supérieur.
Vous trouverez ci-dessous les liens vers les pourcentages arrêtés pour la rentrée 2019 et attestant de la politique volontariste de notre académie en terme de poursuite d'études.
Les capacités d'accueil des licences non sélectives, les taux de "bacheliers technologiques" en IUT, de "bacheliers professionnels" en STS, de boursiers et de non résidents :
Les capacités d'accueil en licence 1 non sélective
Les pourcentages minimaux attendus de bacheliers technologiques par IUT
Les pourcentages minimaux attendus de bacheliers professionnels par STS publique
Les pourcentages minimaux attendus de bacheliers professionnels par STS privé
Contact :
Service académique d'Information et d'Orientation : saio@ac-dijon.fr
Une carte interactive des formations pour aider les candidats à faire leurs choix sur Parcoursup

L'éducation nationale premier berceau d'accueil des services civiques

Jeudi 18 avril le rectorat de l’académie de Dijon a accueilli dans ses murs une réunion du comité régional de coordination du service civique.
Une quarantaine de personnes étaient présentes, au premier rang desquelles la nouvelle présidente de l’Agence du service civique, Béatrice Angrand. « C’est ma première sortie de terrain », a confié Béatrice Angrand qui a pris ses fonctions le 27 mars dernier après avoir été durant dix ans secrétaire générale de l’Office franco-allemand pour la jeunesse. Rien d’étonnant dès lors si elle souhaite « donner une dimension plus européenne au service civique », dont l’Agence assure à la fois la mise en œuvre du service civique et la déclinaison française du volet jeunesse et sport du programme Erasmus+, tandis qu’elle est également, depuis 2018, en charge du déploiement du corps européen de solidarité.
En attendant Béatrice Angrand s’est félicitée du « dynamisme du comité régional » en relevant tant la quantité que la qualité des actions menées. Sans oublier leur diversité.
Présent également, Patrick Molinoz, vice-président de la région Bourgogne Franche-Comté en charge de la jeunesse, de la vie associative, de la laïcité, de l'innovation et du développement numérique des territoires, a souligné pour sa part « l’engagement fort de la Région » dans ce dispositif « utile et pertinent. » Et s’il partage bien sûr l’ambition européenne de Mme Angrand, il souhaite aussi et surtout que l’accent puisse être mis sur les jeunes ruraux.
Auparavant Frédéric Battle, IA-IPR établissements et vie scolaire, représentant Frédérique Alexandre Bailly, rectrice de l’académie de Dijon, chancelière des universités, a rappelé que « l’éducation nationale est le premier berceau d’accueil des services civiques. » A ce jour l’académie de région Bourgogne Franche-Comté en compte 700 dont 417 pour l’académie de Dijon.
Le service civique s'adresse aux jeunes de 16 à 25 ans, jusqu'à 30 ans pour les jeunes en situation de handicap. Indemnisé 580 euros par mois, il permet de s'engager sans condition de diplôme dans une mission d'intérêt général au sein d'une association, d'un établissement public, d'une collectivité... En France ou à l'étranger et dans 9 domaines d'action : solidarité, environnement, sport, culture, éducation, santé, intervention d'urgence, mémoire et citoyenneté, aide humanitaire.
Pour en savoir plus :http://www.ac-dijon.fr/cid133279/le-service-civique-universel.html

Grand débat national : priorité renforcée à l'école primaire
Le grand débat national
Festival École en choeur" - Année scolaire 2018-2019 !

Enseignants : révélez le talent de vos élèves, participez au "Festival École en chœur" ! Filmez votre chorale scolaire et partagez la vidéo. Le "Festival École en chœur" met à l'honneur les chorales scolaires pour favoriser et développer le rayonnement de l'éducation musicale et du chant choral au sein de l'institution scolaire.

Congrès annuel de la Mission laïque française : l'académie de Dijon (bien) représentée

Du 6 au 8 avril s’est tenu à la Cité internationale de Paris le congrès annuel de la Mission laïque française (MLF).
Une délégation dijonnaise, conduite par Frédérique Alexandre-Bailly, rectrice de l’académie de Dijon, chancelière des universités, et composée d'une vingtaine de participants (inspecteurs, chefs d'établissement, professeurs, élèves, direction ESPE, Canopé, ou encore CLEMI et DAREIC) a participé à ce congrès dont l’objectif est de rassembler les acteurs qui font vivre les écoles et les lycées français à l’étranger. Ils étaient cette année plus de 500.
Entre conférences et interactions, parents, élèves, acteurs de l’éducation et praticiens ont pu échanger sur leur vision de l’école de demain autour de la problématique : « Accueillir l’enfant, accompagner l’élève, bâtir une culture d’établissement. »
Beaune et Chalon-sur-Saône se distinguent
Le congrès a aussi été l’occasion de récompenser les lauréats du concours « C’est ton droit ! » dont l’objectif est de sensibiliser les élèves aux droits fondamentaux de l’enfant. Les élèves de l'EREA de Beaune y décrochent la deuxième place, derrière un établissement de Boston. C’est la troisième fois que les Beaunois obtiennent ce résultat.
Ce congrès 2019 a également donné lieu à la deuxième édition des rencontres internationales de la webradio scolaire durant lesquelles des élèves venus de tous horizons -Saragosse, Beyrouth, Alexandrie, New York- se sont prêtés ensemble au jeu du journalisme en couvrant la totalité de l’événement et en interviewant les personnalités présentes. Parmi eux des élèves du collège Prévert de Chalon-sur-Saône et leurs professeurs.
L’objectif d’une éducation aux médias et à l’information est de permettre aux élèves de se préparer à l’exercice d’une citoyenneté éclairée et responsable dans une société où l’information et la communication sont omniprésentes. Depuis trois ans, la Mlf a mis en place des formations webradio dans différents établissements afin de permettre aux élèves de s’approprier un nouveau média.
Pour écouter et voir les grands moments de ce congrès :
http://www.mlfmonde.org/retour-sur-le-congres-mlf-2019-a-la-cite-internationale-universitaire-de-paris/

Référentiel Marianne

Dans le cadre de la politique de transformation et de modernisation du service public (Action publique 2022), le référentiel Marianne est l'un des leviers visant notamment à améliorer la qualité de l'accueil et de service à l'usager, d'une part, et à favoriser un environnement de travail modernisé aux agents publics, d'autre part. C'est à ce titre, que l'académie de Dijon s'engage dans la mise en œuvre des 12 engagements qui composent ce référentiel.
Les 12 engagements du référentiel Marianne

Les lycéennes et lycéens engagés pour le climat

Allier l'ouverture sur l'Europe avec une mobilisation pour la transition énergétique et le développement durable, telle est une des préoccupations des lycéennes et lycéens élus des CAVL des académies de Besançon et Dijon.
Un séjour à Bruxelles pour quatre représentant(e)s des Conseils académiques de la vie lycéenne (CAVL) des académies de Besançon et Dijon
Dans le prolongement d'un débat qui a eu lieu lors d’un séminaire intercavl à Dijon le 12 mars sur le climat, Émilie, Clémence, Joris et Matéo ont accepté de relever le défi d'être ambassadeurs-reporters lors d'un événement organisé à Bruxelles du 23 au 25 avril 2019. Ils ont été invités par les responsables des projets Érasmus plus BIM GAME et ToBe3 portés par le Groupement d’intérêt public Formation tout au long de la vie (GIP FTLV) de l'académie de Besançon.
Des débats organisés dans les lycées le 15 mars
De nombreux élus des Conseils des délégués pour la vie lycéenne (CVL) se sont mobilisés aux côtés des chefs d'établissement, des personnels enseignants, d'éducation, des agents...
Synthèse des débats académie de Besançon
Synthèse des débats académie de Dijon
Synthèse nationale des débats dans les académies
La synthèse de ces débats a alimenté les réflexions en Conseil national de la vie lycéenne (CNVL) les 4 et 5 avril à Paris. Des propositions ont été adressées au ministre de l’éducation nationale Jean-Michel Blanquer en présence de Brune Poirson, Emmanuelle Wargon et Gabriel Attal.
Compte-rendu de la séance plénière du Conseil National de la Vie Lycéenne du 5 avril 2019
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
Propositions retenues par le ministre : lien vers page dédiée site ministère
https://www.education.gouv.fr/cid140826/changement-climatique-les-elus-du-conseil-national-de-la-vie-lyceenne-porte-parole-des-propositions-issues-des-debats-dans-les-lycees.html
Ces synthèses ainsi que le bilan du séjour à Bruxelles alimenteront les réflexions lors du séminaire inter CAVL qui se tiendra les 26 et 27 juin à Besançon et permettront de faire des propositions concrètes aux recteurs pour la 2e année du mandat.

Les Cités éducatives

Les Cités éducatives sont un dispositif né à partir d'initiatives menées sur le terrain par les élus locaux, les services de l'État et les associations. Elles visent à intensifier les prises en charges éducatives des enfants à partir de 3 ans et des jeunes jusqu’à 25 ans, avant, pendant, autour et après le cadre scolaire. Le label "Cité éducative" résulte de la co-construction de la feuille de route gouvernementale pour les quartiers prioritaires menée par le ministère de la Cohésion des territoires.

80 territoires éligibles ont été sélectionnés après un travail fin avec les préfets et les recteurs. Nous proposons désormais aux collectivités, sans qui rien ne se fera, de s’engager dans cette démarche, au travers de l’élaboration d’une stratégie territoriale ambitieuse et partagée. L’État sera là pour les accompagner avec près de 100 millions d’euros engagés sur les trois prochaines années et l’engagement de toute la communauté éducative.

Julien Denormandie,
et des Relations avec les collectivités territoriales, chargé de la Ville et du Logement
Les Cités éducatives, pourquoi ?
Depuis trente ans, les inégalités de destin ont progressé dans notre pays : selon l’endroit de naissance, sa famille, l’école fréquentée, les chances de réussite ne sont pas les mêmes. C’est pourquoi le ministère chargé de la Ville et du Logement et le ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse ont décidé de mettre en œuvre des mesures fortes à chaque étape du parcours des enfants.
Les Cités éducatives :
- s’adressent aux habitants des territoires de la politique de la ville et s’inscrivent dans la mobilisation nationale, lancée en juillet 2018, par Emmanuel Macron et portée par le ministère en charge de la Ville et du Logement.
- s’inscrivent dans le cadre des mesures nouvelles prises par le ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse : scolarisation obliga-toire dès 3 ans, dédoublement des classes, Plan mercredi, "Devoirs faits", prime Rep+, petits-déjeuners à l’école...
Les Cités éducatives visent à intensifier les prises en charges éducatives des enfants à partir de 3 ans et des jeunes jusqu’à 25 ans, avant, pendant, autour et après le cadre scolaire.
Elles consistent en une grande alliance des acteurs éducatifs travaillant dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville : services de l’État, des collectivités, associations, habitants.
À travers les Cités éducatives, le Gouvernement veut ainsi fédérer tous les acteurs de l’éducation scolaire et périscolaire, dans les territoires qui en ont le plus besoin et où seront concentrés les moyens publics.
Un travail fin a été réalisé avec les préfets et les recteurs pour identifier 80 territoires cibles. Il s’agit de grands quartiers d’habitat social de plus de 5 000 habitants, présentant des dysfonctionnements urbains importants et avec des enjeux de mixité scolaire. Il a par ailleurs été tenu compte des enjeux d’aménagement du territoire et du volontarisme des élus locaux.
Un label d’excellence
Le label "Cités éducatives" et les moyens supplémentaires affectés par l’État ne seront accordés qu’aux territoires éligibles où les acteurs du territoire proposeront une stratégie ambitieuse et partagée, avec une collectivité cheffe de file.
L’ambition des Cités éducatives n’est pas d’être un dispositif de plus mais l’occasion de mieux coordonner et renforcer les dispositifs existants. L’enjeu est de pouvoir accompagner au mieux chaque parcours éducatif individuel, depuis la petite enfance jusqu’à l’insertion professionnelle, dans tous les temps et espaces de vie.
La sélection des territoires labellisés repose sur un référentiel qui met l’accent sur la qualité du diagnostic initial, la force du pilotage proposé, et la précision des indicateurs de suivi et de résultat.
Les territoires doivent présenter les actions, moyens et indicateurs envisagés pour répondre à trois objectifs principaux : conforter le rôle de l’école, organiser la continuité éducative, ouvrir le champ des possibles.
Les grands objectifs
Les Cités éducatives consistent en une meilleure coordination des dispositifs afin de parvenir à des "Territoires à haute qualité éducative".
Conforter le rôle de l'école
Il s’agira de concevoir des perspectives de travail et d’envisager des actions coordonnées :
- Rechercher une meilleure mixité sociale et scolaire : créer des filières et des formations innovantes et attractives
- Améliorer le bien-être de tous, élèves et personnels : qualité et utilisation des locaux scolaires sur les temps périscolaires
- Renforcer le suivi personnalisé des élèves en amont et sur la durée : travail coordonné entre les cycles, aves les divers dispositifs culturels, éducatifs sportifs de prise en charge des jeunes sur les différents temps et l’ensemble du territoire
- Encourager l'ambition scolaire : accompagnement des élèves sur la persévérance et l'orientation
- Encourager la coopération avec les parents
- Renforcer les alliances éducatives à l'interne et avec les partenaires : développement d'actions de formations communes afin de partager les enjeux et le sens des actions
Promouvoir la continuité éducative
L’enjeu est aussi d’organiser autour de l’école la continuité éducative, afin de construire un lien continu avec les parents et les autres adultes pouvant contribuer à la réussite dès le plus jeune âge et dans le périscolaire.
- Favoriser la socialisation précoce des enfants : créer de nouvelles places de crèches
- Faciliter l’implication des parents et les conditions d’exercice de la parentalité : étendre l’opération "ouvrir l’école aux parents pour la réussite des enfants" (OEPRE)
- Développer la prévention santé-hygiène : dépistage précoce des troubles de santé ; petits-déjeuners gratuits en lien avec la stratégie pauvreté
- Favoriser la persévérance scolaire et la lutte contre le décrochage : renforcement du programme de réussite éducative
- Promouvoir l’éducation artistique et culturelle : actions en lien avec les structures culturelles du territoire
- Développer la pratique sportive et les activités de bien-être corporel : promotion de la labellisation "Génération 2024" entre le monde scolaire et le mouvement sportif
- Mieux diffuser la culture scientifique et technique : fablabs, tiers-lieux
- Investir davantage les lieux et les temps où les services publics sont en retrait : renforcement de la présence des adultes formés en soirée, les week-ends et pendant les vacances scolaires, pour éviter les replis communautaires et/ou identitaires
- Développer l’accompagnement personnalisé des jeunes : cordées de la réussite, tutorat, mentorat
- Promouvoir les valeurs collectives et la prévention des risques : promotion des valeurs républicaines
Ouvrir le champ des possibles
L’un des enjeux majeurs de la "Cité éducative" est d’aider les enfants et les jeunes à trouver, dans leur environ-nement, les clés de l’émancipation. Les partenaires viseront ici à multiplier les opportunités d’ouverture et de mobi-lité sur le monde extérieur.
- Faire découvrir les filières de formation et du monde du travail : stage de 3e, partenariats avec l’enseignement supérieur et le monde économique
- Favoriser la maîtrise de la langue et lutter contre l’illettrisme et l’illectronisme
- Aider à l’insertion professionnelle des jeunes sans qualification : écoles de la 2e chance, établissements pour l’insertion dans l’emploi (Épide), écoles de production
- Développer la mobilité et les rencontres : voyages de découverte, mobilités scolaires et éducatives
- Promouvoir l’ouverture culturelle et citoyenne : service civique, actions d’entraide scolaire ou de solidarité, participation à la vie de la cité
- Participer à la société numérique de demain : fablabs, badges numériques ouverts
- Offrir à tous un "droit à la ville" : accessibilité des transports en commun et accès aux ressources culturelles et sportives de l’agglomération
- Les Cités éducatives, un label d'excellence
- Les grands objectifs
- Les moyens de l'État
- La grande alliance éducative
- Un écosystème d'acteurs, une nouvelle méthode
- Le calendrier
- Les territoires éligibles au label cités éducatives

13 campus connectés à la rentrée 2019 : rapprocher l'enseignement supérieur de tous les ...

À la rentrée 2019, treize campus connectés ouvrent dans des villes éloignées des grands centres universitaires. Nevers et Autun sont les deux villes concernées dans l'académie de Dijon, Lons-le-Saunier pour l'académie de Besançon. Une opportunité pour les jeunes de suivre, près de chez eux, des formations à distance dans l'enseignement supérieur en bénéficiant d'un accompagnement, d'un emploi du temps, d'une carte d'étudiant... L'objectif de ces structures propices à une dynamique collective et à l'entraide, est de reconnecter aux études supérieures des jeunes qui sans cela n'auraient pas nécessairement entrepris ces études.
En savoir plus : http://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/cid141494/13-campus-connectes-a-la-rentree-2019-rapprocher-l-enseignement-superieur-de-tous-les-territoires.html
Consulter le dossier de presse "Campus connecté, étudier dans tous les territoires"

#CeciNestPasUnIsoloir

Voter le 26 mai 2019 aux élections européennes, c'est préparer l'avenir de l'Europe. Voici les informations essentielles pour vous y aider : comment s'inscrire sur les listes électorales, le rôle du Parlement européen et l’impact de son action sur le quotidien des Européens. En 2019, l'Europe changera. A vous de décider dans quel sens.

Parcoursup : "Tout savoir sur l'étape 3"

La phase d’admission dans l’enseignement supérieur débute le mercredi 15 mai 2019 à 19h et se terminera le 19 juillet 2019 à minuit. Afin que tous les candidats puissent consulter simultanément leur dossier à 19h le 15 mai 2019, la plateforme proposera dans un premier temps un mode « consultation », puis en début de soirée, les candidats pourront répondre aux propositions qui leurs ont été faites.
La procédure d’admission dans l’enseignement supérieur fonctionne de manière progressive et continue : les candidats reçoivent chaque matin les réponses des formations, sauf pendant les épreuves écrites du Baccalauréat. Elle repose également sur un principe de solidarité : ce sont les candidats qui libèrent des places au fur et à mesure qu’ils acceptent ou refusent certaines propositions, ce qui permet de faire immédiatement de nouvelles propositions à d’autres. A partir de mercredi et tout au long de la procédure, le nombre de propositions faites aux candidats augmentera donc progressivement.
« Je reçois les réponses des formations et je décide » du 15 mai au 19 juillet 2019
Calendrier des 3 étapes de ParcoursSup
Afin de promouvoir l’ambition d’ouverture sociale et la mobilité géographique définies par la loi n°2018-166 du 8 mars 2018 relative à l'orientation et à la réussite des étudiants, les taux de boursiers, de non-résidents, de "bacheliers professionnels" en STS et de "bacheliers technologiques" en IUT sont des leviers essentiels du pilotage de l’accès à l’enseignement supérieur.
Quels sont les taux prévus par la loi du 8 mars 2018 ?
La loi du 8 mars 2018 relative à l’Orientation et la Réussite des Etudiants prévoit, dans l’article L. 612-3 du code de l’éducation, que soient mis en œuvre :
- dans les filières sélectives et non sélectives : un taux minimal de bacheliers bénéficiaires d’une bourse nationale de lycée ;
- dans les filières non sélectives pour lesquelles le nombre de vœux confirmés par les candidats est supérieur aux capacités d’accueil de la formation demandée :
- un taux maximal de candidats résidant dans une académie autre (ou un secteur de recrutement différent) que celle dans laquelle est situé l'établissement de la formation demandée par le candidat.
Par ailleurs, afin de favoriser l’orientation des bacheliers professionnels et technologiques vers les filières courtes de l’enseignement supérieur, l’article L. 612-3 du code de l’éducation prévoit :
- pour l’accès aux STS : un taux minimal de bacheliers professionnels retenus
- pour les IUT, un taux minimal de bacheliers technologiques retenus.
A quoi servent ces taux ?
Les taux minimaux de boursiers et les taux maximum de non-résidents dans la formation demandée portent tous deux l’objectif d’encourager la mobilité sociale et géographique de tous les candidats qui souhaitent accéder à l’enseignement supérieur.
Les taux minimaux pour les bacheliers professionnels et technologiques sont destinés à donner une priorité à ces candidats, pour l’accès aux filières courtes dans lesquelles ils sont le mieux préparés pour réussir leurs études supérieures.
Quels ont été les effets de la mise en place de ces taux en 2018 ?
La mise en place de ces taux dans la procédure de Parcoursup a permis de faire des progrès dans la lutte contre les inégalités et de favoriser la démocratisation de l’enseignement supérieur :
Plus de boursiers du secondaire accèdent aux études supérieures
+21 % de boursiers admis dans l’enseignement supérieur
+28 % de boursiers admis dans les CPGE parisiennes
Plus de mobilité géographique
+12 % de candidats qui ont fait un vœu hors de leur académie de résidence
+9,5 % de candidats qui ont accepté une proposition hors de leur académie de résidence
Plus de bacheliers professionnels et technologiques dans les filières courtes
+23 % de bacheliers professionnels admis en STS
+19 % de bacheliers technologiques admis en IUT
Comment sont fixés les taux ?
Les taux sont fixés après concertation entre les présidents d'université ou les chefs d’établissements concernés et le recteur d’académie. Ils sont ensuite publiés dans un arrêté, pour chacune des académies.
Les taux 2019 pour l'académie de Dijon
Afin de promouvoir l’ambition d’ouverture sociale et la mobilité géographique définies par la loi n°2018-166 du 8 mars 2018 relative à l'orientation et à la réussite des étudiants, les taux de boursiers, de non-résidents, de "bacheliers professionnels" en STS et de "bacheliers technologiques" en IUT sont des leviers essentiels du pilotage de l’accès à l’enseignement supérieur.
Vous trouverez ci-dessous les liens vers les pourcentages arrêtés pour la rentrée 2019 et attestant de la politique volontariste de notre académie en terme de poursuite d'études.
Les capacités d'accueil des licences non sélectives, les taux de "bacheliers technologiques" en IUT, de "bacheliers professionnels" en STS, de boursiers et de non résidents :
Les capacités d'accueil en licence 1 non sélective
Les pourcentages minimaux attendus de bacheliers technologiques par IUT
Les pourcentages minimaux attendus de bacheliers professionnels par STS publique
Les pourcentages minimaux attendus de bacheliers professionnels par STS privé
Contact :
Service académique d'Information et d'Orientation : saio@ac-dijon.fr
Une carte interactive des formations pour aider les candidats à faire leurs choix sur Parcoursup

Olympiades des Sciences de l'Ingénieur : en route pour la finale nationale

L’Ecole supérieure des Sciences de l’Ingénieur (ESIREM) de Dijon a accueilli jeudi 16 mai la finale académique des Olympiades des Sciences de l’Ingénieur 2019. Trente-six équipes venant des 16 lycées généraux et technologiques de l’académie étaient présentes.
Sous l’œil vigilant de 14 jurys, 141 lycéens de terminale SSI et STI2D, accompagnés de 26 professeurs, ont présenté leur projet. A l’heure de la remise des prix, les intervenants, dont M. Chevillon, délégué régional EDF, ont souligné l’engagement des lycéens – et de leurs professeurs – ainsi que la qualité des projets.
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
Trois équipes iront en finale nationale chez EDF à Saclay le 28 mai prochain : les premiers de chacune des catégories (SI et STI2D) ainsi que l’équipe du lycée militaire d’Autun.
![ESIREM]()
Le palmarès
Science et vie de l’ingénieur
1e Lycée Pierre Gilles de Gennes – Cosne-sur-Loire – Terrarium paramétrable
2e Lycée militaire – Autun – Etirator
3e Lycée Saint-Joseph – Dijon – Imprimante braille
STI2D
1e Lycée Camille-Claudel – Digoin – Smart Dress
2e Lycée Gustave-Eiffel – Dijon – Néo Project
3e Lycée Jules-Renard – Nevers - Scierie animée
Prix spéciaux
Prix du meilleur poster : Lycée Cassin – Mâcon – Canne ultrasonique
Prix éco-conception : Lycée Henri-Vincenot – Louhans – Nourrisseur automatique de ruche
Prix lien Ecole – Entreprise : Lycée René-Cassin – Mâcon – Secourisme
Prix de l’innovation : Lycée Pierre-Gilles de Gennes – Cosne-sur-Loire – Parasol automatisé
Prix coup de cœur : Lycée Janot – Sens – Scootélec
